L’agent pénitentiaire accusé pour torture sur le détenu M. N. a été sanctionné par une peine de 10 jours de rigueur, a annoncé la cellule de communication de la prison et révélé par l’organisation nationale d’assistance juridique et judiciaire (Ona2j). Ces faits que l’organisation avait jugé « graves », s’étaient déroulés le lundi 26 août 2024.
Selon le journal Libération, l’organisation nationale d’assistance juridique et judiciaire après un cas de torture qui a été signalé au niveau de la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Ziguinchor avait saisi l’administration pénitentiaire pour une enquête qui a immédiatement été ouverte. Cependant, l’enquête a impliqué le détenu M. N ainsi que le surveillant pénitentiaire aux initiales de K. S.
A en croire le quotidien dans sa parution de lundi, l’agent pénitentiaire a été sanctionné par une peine de 10 jours. Par ailleurs, l'Ona2J, à travers un communiqué, « a salué le sens de la responsabilité, le courage et le professionnalisme du nouveau directeur de la prison pour sa réactivité et le traitement diligent de cette affaire. » Toujours est-il que « la torture constitue une grave violation des droits humains et est interdite par les conventions internationales ratifiées par de nombreux pays, y compris le Sénégal » renseigne le communiqué dont Libération détient copie.
L’organisation nationale d’assistance juridique et judiciaire (Ona2j) lance un appel à ce que toutes les organisations des droits humains continuent à surveiller les conditions de détention et à soutenir les victimes.
Selon le journal Libération, l’organisation nationale d’assistance juridique et judiciaire après un cas de torture qui a été signalé au niveau de la Maison d’arrêt et de correction (Mac) de Ziguinchor avait saisi l’administration pénitentiaire pour une enquête qui a immédiatement été ouverte. Cependant, l’enquête a impliqué le détenu M. N ainsi que le surveillant pénitentiaire aux initiales de K. S.
A en croire le quotidien dans sa parution de lundi, l’agent pénitentiaire a été sanctionné par une peine de 10 jours. Par ailleurs, l'Ona2J, à travers un communiqué, « a salué le sens de la responsabilité, le courage et le professionnalisme du nouveau directeur de la prison pour sa réactivité et le traitement diligent de cette affaire. » Toujours est-il que « la torture constitue une grave violation des droits humains et est interdite par les conventions internationales ratifiées par de nombreux pays, y compris le Sénégal » renseigne le communiqué dont Libération détient copie.
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