Le ministère de la Fonction Publique et de la Réforme publique a organisé des concertations régionales pour la réforme des services publics le 5 mars 2025 à la Chambre de Commerce, d'Industrie et d'Agriculture de Dakar. Cette rencontre, présidée par le gouverneur de Dakar, permet de recueillir les contributions des citoyens, des usagers et des parties prenantes au niveau territorial pour l'élaboration du Plan d'action nationale pour la réforme des services publics. Selon Digou Yala Mathilde SADIO, la concertation met en lumière les nombreux défis auxquels les populations sont confrontées, notamment la lourdeur des procédures, la lenteur, la disponibilité de l'information et les problèmes d'accessibilité liés à l'accueil.
« Par rapport aux concertations, on peut retenir qu’il y a beaucoup de contraintes auxquelles les populations sont confrontées. Celles-ci sont liées à la lourdeur des procédures et à la lenteur, mais aussi à la non-disponibilité de l’information. On a aussi parlé de l’accessibilité des problèmes liés à l’accueil. C’était une occasion pour les populations de s’exprimer, d’exprimer leurs inquiétudes par rapport au service public. Et aussi de montrer des pistes de solutions pour qu’ensemble, nous puissions améliorer le service public qui soit à l’usage des populations. Le service public sénégalais n’est pas parfait, il est à parfaire. Parce que les difficultés ne sont pas forcément liées au service directement. Ceci peut être un problème de moyens, ça peut être lié au problème de ressource humaine », a déclaré Digou Yala Mathilde SADIO.
Selon l’adjoint au Gouverneur chargé du développement, la solution, c’est de « remettre l’usager au centre du service public ». « Aujourd’hui, on parle du client roi. Il faut développer des mécanismes qui nous permettent de prendre en charge les besoins des populations. Ces mécanismes peuvent passer par la digitalisation, par simplification des procédures, l’amélioration des politiques d’accueil, développer des politiques de qualités tout au long des chaînes, à tous les niveaux de management afin que toute l’activité, l’action de l’administration, du service public soit tournée vers l’usager », a-t-elle conclu.
« Par rapport aux concertations, on peut retenir qu’il y a beaucoup de contraintes auxquelles les populations sont confrontées. Celles-ci sont liées à la lourdeur des procédures et à la lenteur, mais aussi à la non-disponibilité de l’information. On a aussi parlé de l’accessibilité des problèmes liés à l’accueil. C’était une occasion pour les populations de s’exprimer, d’exprimer leurs inquiétudes par rapport au service public. Et aussi de montrer des pistes de solutions pour qu’ensemble, nous puissions améliorer le service public qui soit à l’usage des populations. Le service public sénégalais n’est pas parfait, il est à parfaire. Parce que les difficultés ne sont pas forcément liées au service directement. Ceci peut être un problème de moyens, ça peut être lié au problème de ressource humaine », a déclaré Digou Yala Mathilde SADIO.
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