«Le dialogue est permanent, il y a plusieurs façons de dialoguer. Il y a le dialogue direct entre acteurs, il celui par voix détournée», campe le responsable de l'Alliance des Forces de Progrès (AFP). Par ailleurs maire des Sicap Liberté, Santi Agne soutient que « le pouvoir n’ignore pas ce qui se dit au niveau de l’opposition et inversement».
Selon lui, «il y est arrivé à un moment donné où il y a eu de la crispation qui a été exacerbée pendant la campagne du référendum du 20 mars passé». «Il est bon que les gens s’asseyent, posent les problèmes qui sont communs, essaient de les dépasser et retrouver des solutions consensuelles», décline le progressiste.
«Mais cela ne veut pas dire, faire de la compromission c’est dire le « Lambi Golo» ou combine politique ou politicienne. Quand les gens discutent, ils doivent le faire en maintenant leur position de principe et que ce soit pour l’intérêt du Sénégal», déclare-t-il.
Pour lui, «on est un seul pays car quand le Président de la République déclarait le dialogue, il se trouvait dans des funérailles où il a retrouvé l’ensemble de la classe politique. Et ça veut dire que nous sommes en famille et il est bon qu’un moment donné qu'on discute».
Et de poursuivre: «Par contre au moment où il faudra passer aux joutes électorales, que chacun retrouve son camp». «Aujourd’hui la saison politique est fermée, il est question d’essayer de développer le Sénégal et ça passe par l’échange, le dialogue,...sans que ça n’altère à rien l’identité de X, Y et Z», sert le maire.
A l’en croire, «quand on a lancé le dialogue, les gens on dit «retrouvaille libérale» alors que « ce dialogue là n’est pas un moment pour des retrouvailles libérales. Et il est heureux que le Président de la République l’est compris et a élargi le spectre des dialoguistes à la société civile, aux syndicats etc…».
«Ce n’est pas un face à face entre gens d’une famille libérale sinon ça ne nous intéresse pas car moi, je suis pas libérale», prévient le progressiste qui dit que "si cela intéresse le Sénégal, c’est parce que c’est un dialogue fécond et fécondant mais qui interpelle tous ceux qui ont intérêt à ce que le Sénégal se développe».
Selon lui, «il y est arrivé à un moment donné où il y a eu de la crispation qui a été exacerbée pendant la campagne du référendum du 20 mars passé». «Il est bon que les gens s’asseyent, posent les problèmes qui sont communs, essaient de les dépasser et retrouver des solutions consensuelles», décline le progressiste.
«Mais cela ne veut pas dire, faire de la compromission c’est dire le « Lambi Golo» ou combine politique ou politicienne. Quand les gens discutent, ils doivent le faire en maintenant leur position de principe et que ce soit pour l’intérêt du Sénégal», déclare-t-il.
Pour lui, «on est un seul pays car quand le Président de la République déclarait le dialogue, il se trouvait dans des funérailles où il a retrouvé l’ensemble de la classe politique. Et ça veut dire que nous sommes en famille et il est bon qu’un moment donné qu'on discute».
Et de poursuivre: «Par contre au moment où il faudra passer aux joutes électorales, que chacun retrouve son camp». «Aujourd’hui la saison politique est fermée, il est question d’essayer de développer le Sénégal et ça passe par l’échange, le dialogue,...sans que ça n’altère à rien l’identité de X, Y et Z», sert le maire.
A l’en croire, «quand on a lancé le dialogue, les gens on dit «retrouvaille libérale» alors que « ce dialogue là n’est pas un moment pour des retrouvailles libérales. Et il est heureux que le Président de la République l’est compris et a élargi le spectre des dialoguistes à la société civile, aux syndicats etc…».
«Ce n’est pas un face à face entre gens d’une famille libérale sinon ça ne nous intéresse pas car moi, je suis pas libérale», prévient le progressiste qui dit que "si cela intéresse le Sénégal, c’est parce que c’est un dialogue fécond et fécondant mais qui interpelle tous ceux qui ont intérêt à ce que le Sénégal se développe».
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