Au Sénégal, des établissements sur les métiers du rail sont quasi inexistants. C’est dans cette lancée qu’un partenariat a été noué, ce lundi entre l’ISEG et CIE basé à Londres. Une convention soutenue par l’Ambassade de Grande Bretagne au Sénégal et qui vise à former des étudiants bilingues qui se fera au Sénégal et à Londres.
« C’est un programme spécial dans la formation des métiers du rail que nous allons établir au niveau de la sous-région. Il y aura un échange d’étudiants avec le renforcement de capacités pour présenter des étudiants bilingues. Cela va aussi toucher le domaine professionnel avec des investisseurs qui peuvent venir chez nous », explique Mamadou Diop, Président Directeur général de l’ISEG.
Un effectif compris entre 200 à 300 étudiants de l’ISEG vont être choisis pour aller étudier en Angleterre. Une étude de faisabilité a précédé la convention. Et selon Malado Sow, une Sénégalaise vivant en Angleterre depuis 22 ans, «l’ISEG est choisie, parce que disposant d’un ensemble de 36 campus dont certains basés dans la sous-région. Il s’agira d’assister les étudiants pour le choix de leurs dossiers mais aussi travailler pendant 20 heures par semaine pour pallier à la vie chère au niveau de Londres et alléger les dépenses des parents». Mme Sow dans les colonnes du journal «Libération», estime qu’il faut participer au développement de demain en misant sur la jeunesse.
« C’est un programme spécial dans la formation des métiers du rail que nous allons établir au niveau de la sous-région. Il y aura un échange d’étudiants avec le renforcement de capacités pour présenter des étudiants bilingues. Cela va aussi toucher le domaine professionnel avec des investisseurs qui peuvent venir chez nous », explique Mamadou Diop, Président Directeur général de l’ISEG.
Un effectif compris entre 200 à 300 étudiants de l’ISEG vont être choisis pour aller étudier en Angleterre. Une étude de faisabilité a précédé la convention. Et selon Malado Sow, une Sénégalaise vivant en Angleterre depuis 22 ans, «l’ISEG est choisie, parce que disposant d’un ensemble de 36 campus dont certains basés dans la sous-région. Il s’agira d’assister les étudiants pour le choix de leurs dossiers mais aussi travailler pendant 20 heures par semaine pour pallier à la vie chère au niveau de Londres et alléger les dépenses des parents». Mme Sow dans les colonnes du journal «Libération», estime qu’il faut participer au développement de demain en misant sur la jeunesse.
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