«J’ai lu partout que nous devrions 12 ou 10 milliards à la SENELEC, que les collectivités locales du Sénégal devaient des milliards. Le Président Wade avait décidé vers 2004, alors que nous n’étions pas encore là, c’est du temps du maire Pape Diop, que l’Etat prendrait en charge l’éclairage public des collectivités locales. Il n’y a pas eu de décision contraire depuis lors», déclare l’édile de Dakar. Et de poursuivre que «le Président Macky Sall l’a confirmé en 2012 ».
Sur ce point, Khalifa Sall se veut catégorique : «Pourquoi doit-on demander aux collectivités locales des comptes, étant entendu que l’Etat s’est engagé à le faire. Le jour où l’Etat écrira pour dire que je ne le ferai plus, les villes verront. Pour l’instant, on ne peut pas nous imputer des dettes, nous ne devons rien à personne».
Sur ce point, Khalifa Sall se veut catégorique : «Pourquoi doit-on demander aux collectivités locales des comptes, étant entendu que l’Etat s’est engagé à le faire. Le jour où l’Etat écrira pour dire que je ne le ferai plus, les villes verront. Pour l’instant, on ne peut pas nous imputer des dettes, nous ne devons rien à personne».
Autres articles
-
Ousmane Sonko engage Pastef dans une mobilisation politique et citoyenne accrue
-
Sénégal : le président de l’Assemblée nationale annonce la relance du Parlement des enfants
-
Rufisque : un budget record de 6,5 milliards FCFA pour 2026 et des projets structurants
-
Audition de Farba Ngom au PJF : la défense se dit confiante
-
Présidence de l’Union africaine : la CEDEAO soutiendra "la candidature unique du Ghana" en 2027




Ousmane Sonko engage Pastef dans une mobilisation politique et citoyenne accrue


