« C’est une violation effectivement de l’esprit de la campagne parce que ce sont des élections législatives, ce n’est pas une élection présidentielle. L’implication du président de la République n’est pas souhaitée. Et, il y a une Jurisprudence en la matière. Si vous vous rappelez à l’époque, il y avait la coalition FAL qui avait mis l’image de Wade sur les bulletins. Le Conseil constitutionnel avait délibéré pour dire que c’était une violation du Code électoral et qu’il fallait enlever cette image. Selon cette Jurisprudence, on peut valablement dire que ce serait une violation grave du Code électoral… », tranche Sadikh Niass, Secrétaire général par intérim de la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO).
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