Le Conseil national de régulation de l’audiovisuel (Cnra) monte au créneau. Après avoir demandé le respect des textes interdisant l'utilisation des supports audiovisuels pour faire passer les publicités relatives aux produits de dépigmentation ou « Xessal », la structure dirigée par Babacar Diagne vient de mettre en demeure certaines télévisions et radio. Il s’agit de la Tfm, de la Sen Tv et la radio Zik fm.
Dans un communiqué parvenu à PressAfrik, « le Collège du Cnra, compte tenu de la diffusion en continu de publicités relatives aux produits de dépigmentation sur la Sen Tv, la Zik Fm et la Tfm; de la gravité des faits et de l'attitude de défiance, au moment où d’autres éditeurs se sont conformés à l'interdiction légale de publicité des produits de dépigmentation ; de son rôle de veille quant au respect de la réglementation applicable à la communication audiovisuelle ; met en demeure la Sen Tv, la Zik Fm et la Tfm de mettre en définitivement un terme à la publicité des produits de dépigmentation ».
La même source tient à préciser que « le non-respect de cette mise en demeure expose les éditeurs concernés aux sanctions prévues par la loi (article 112 du code de la presse).
L'instance de régulation salue tout de même l'attitude «responsable des éditeurs qui », dit-t-elle, « malgré les contrats les liant aux annonceurs, ont choisi de se conformer à la réglementation, en arrêtant la diffusion de toute forme de publicité relative aux produits de dépigmentation ».
Dans un communiqué parvenu à PressAfrik, « le Collège du Cnra, compte tenu de la diffusion en continu de publicités relatives aux produits de dépigmentation sur la Sen Tv, la Zik Fm et la Tfm; de la gravité des faits et de l'attitude de défiance, au moment où d’autres éditeurs se sont conformés à l'interdiction légale de publicité des produits de dépigmentation ; de son rôle de veille quant au respect de la réglementation applicable à la communication audiovisuelle ; met en demeure la Sen Tv, la Zik Fm et la Tfm de mettre en définitivement un terme à la publicité des produits de dépigmentation ».
La même source tient à préciser que « le non-respect de cette mise en demeure expose les éditeurs concernés aux sanctions prévues par la loi (article 112 du code de la presse).
L'instance de régulation salue tout de même l'attitude «responsable des éditeurs qui », dit-t-elle, « malgré les contrats les liant aux annonceurs, ont choisi de se conformer à la réglementation, en arrêtant la diffusion de toute forme de publicité relative aux produits de dépigmentation ».
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