
Le ministre de l’Economie, des Finances et du Plan faisant le bilan à mi-parcours du Plan Sénégal Emergent (PSE), lors du point économique à l’actif de la Direction de la Prévision et des Etudes Economiques (DPEE), se félicite. Selon lui, ledit plan mis en œuvre depuis deux (2) ans, a permis au Sénégal d’atteindre une croissance de 6,5%, avec des points de performances appréciables sur le plan macro-économique. «Il y a des indicateurs-clés pour mesurer les progrès d’un pays et la communauté internationale s’accorde sur le critère dit «taux de croissance»", souligne l’argentier de l’Etat qui fait par ailleurs état d’une «amélioration notable des comptes courants du pays».
Relevant que le Sénégal compte désormais parmi les économies «les plus résilientes et les plus fortes», du continent avec des perspectives de croissance «les plus élevées en Afrique», Amadou BA se réjouit aussi des perspectives pour 2016 qui sont, formule-t-il «favorables avec les résultats des cinq (5) premiers mois marqués par une croissance moyenne de 6,4%...», un résultat que le Sénégal n’a pas enregistré depuis plus de dix (10) ans, encense le ministre.
Pour le représentant du Fonds Monétaire International (FMI) au Sénégal, il est encore trop tôt de faire un bilan du PSE dont l’horizon est 2035. «On ne peut pas totalement attribuer la croissance du PIB (Produit Intérieur Brut) au PSE… », freine Boileau Loko qui explique la croissance 2015 par des facteurs exogènes notamment un environnement international favorable, une baisse du prix du pétrole,…
«Le plus difficile, ce n’est pas d’atteindre ce taux de croissance mais comment le maintenir pendant un certain nombres d’années. Pour cela, il faut être prudent », prévient-il.
Relevant que le Sénégal compte désormais parmi les économies «les plus résilientes et les plus fortes», du continent avec des perspectives de croissance «les plus élevées en Afrique», Amadou BA se réjouit aussi des perspectives pour 2016 qui sont, formule-t-il «favorables avec les résultats des cinq (5) premiers mois marqués par une croissance moyenne de 6,4%...», un résultat que le Sénégal n’a pas enregistré depuis plus de dix (10) ans, encense le ministre.
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