Face à une multiplication alarmante des féminicides, la société civile sénégalaise s'indigne et lance un appel urgent pour le renforcement de la justice et de la protection des femmes. Malgré l'existence de lois, la violence perdure, instaurant un climat de peur et un sentiment d'abandon.
Au micro d’iradio, la journaliste et militante des droits des femmes, Nina Penda Faye, a déploré la situation, la qualifiant de "non seulement déplorable, mais c'est grave". Elle s'est montrée particulièrement inquiète de la multiplication des cas de féminicides et du sentiment d'insécurité qui s'installe.
La journaliste a souligné que, malgré une loi criminalisant le viol et la pédophilie, la situation semble empirer. "On a l'impression, et c'est une perception, que les choses vont de mal en pis", a-t-elle déclaré. Elle a interpellé ceux qui défendent les auteurs de ces crimes, les invitant à se mettre à la place des victimes et de leurs familles.
Nina Penda Faye a appelé à une mobilisation de tous pour lutter contre ces violences. Elle a insisté sur la nécessité de se demander "ce que nous pouvons faire et comment nous pouvons accompagner nos sœurs qui sont victimes de violence".
Elle a également soulevé la question des peines. Elle estime qu'il faut "durcir les peines" et que les autorités doivent s'engager publiquement à ce que les coupables soient jugés et que justice soit faite. La militante a conclu en exprimant le sentiment que la population est "laissée à elle-même et abandonnés" face à ces "phénomènes récurrents qui font mal à la société".
Au micro d’iradio, la journaliste et militante des droits des femmes, Nina Penda Faye, a déploré la situation, la qualifiant de "non seulement déplorable, mais c'est grave". Elle s'est montrée particulièrement inquiète de la multiplication des cas de féminicides et du sentiment d'insécurité qui s'installe.
La journaliste a souligné que, malgré une loi criminalisant le viol et la pédophilie, la situation semble empirer. "On a l'impression, et c'est une perception, que les choses vont de mal en pis", a-t-elle déclaré. Elle a interpellé ceux qui défendent les auteurs de ces crimes, les invitant à se mettre à la place des victimes et de leurs familles.
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