Après le coup d’Etat militaire du 26 novembre ayant occasionné la chute de Sissoco Embalo, la Communauté économique des Etats de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) souhaite "une transition de courte durée dirigée par un gouvernement inclusif ", dans une déclaration issue de la 68e session ordinaire de l’Institution.
Dans son communiqué, l’organisation invite les putschistes à mettre en œuvre un gouvernement d’union "reflétant la diversité du paysage politique et de la société de Guinée-Bissau". Celui-ci aura pour mission "d’entreprendre des réformes constitutionnelles, juridiques et politiques, et d’organiser des élections crédibles, transparentes et inclusives".
L'Institution sous-régionale a "ordonné qu'une délégation du comité des Chefs d'Etats-majors soit immédiatement dépêchée pour engager un dialogue avec les autorités", tout en menaçant "de sanctions ciblées" en cas d'échec des négociations.
La CEDEAO a aussi demandé la "libération immédiate de tous les prisonniers politiques et leur participation à tous les processus politiques" dans le pays, tout en rejetant "le chronogramme de transition récemment" annoncé par les auteurs du coup d’Etat.
Pour rappel, le 26 novembre, alors que les Bissau-guinéens étaient en attente des résultats des élections présidentielles organisées trois (03) jours plus tôt, des militaires ont pris le pouvoir par les armes et dissout toutes les institutions du pays.
Dans son communiqué, l’organisation invite les putschistes à mettre en œuvre un gouvernement d’union "reflétant la diversité du paysage politique et de la société de Guinée-Bissau". Celui-ci aura pour mission "d’entreprendre des réformes constitutionnelles, juridiques et politiques, et d’organiser des élections crédibles, transparentes et inclusives".
L'Institution sous-régionale a "ordonné qu'une délégation du comité des Chefs d'Etats-majors soit immédiatement dépêchée pour engager un dialogue avec les autorités", tout en menaçant "de sanctions ciblées" en cas d'échec des négociations.
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