
Ce groupe de consultance donne de bonnes notes au nouveau régime dirigé par Diomaye Faye après seulement 100 jours de règne.
Cette étude consacrée dans la région de Dakar fait ressortir que quelque 2 sénégalais sur 3 sont satisfaits de la politique de lutte contre la corruption déroulée par les nouvelles autorités.
“Globalement, le niveau d’exposition à la corruption est de 49,7 %. Cette proportion est plus importante dans les départements de Pikine et de Dakar avec respectivement 73,6 % et 53,5 % de niveau d’exposition à la corruption”, renseigne le document.
Selon l’étude de GIRES Consulting, le manque de volonté politique (53 %), l’insuffisance des moyens de contrôle (36,1 %) et la faible application des lois en vigueur (32,3 %), figurent parmi “les obstacles les plus remarquables à la lutte contre la corruption au Sénégal”.
En termes de genre le rapport montre que les femmes semblent moins exposées à la corruption avec un taux de 42,5 % contre 55,1 % chez les hommes, souligne le texte.
Relativement à l’âge des personnes interrogées, le groupe d’experts ajoute que le taux d’exposition à la corruption est de 45,4 % chez les jeunes contre 52,4 % chez les adultes (36 à 59 ans).
GIRES Consulting qui se présente comme un groupe d’experts pluridisciplinaires s’activant dans l’évaluation des politiques publiques note que les données à sa possession montrent que les pouvoirs publics sont encouragés à “maintenir le cap afin d’éradiquer au mieux ce fléau”.
Cette étude consacrée dans la région de Dakar fait ressortir que quelque 2 sénégalais sur 3 sont satisfaits de la politique de lutte contre la corruption déroulée par les nouvelles autorités.
“Globalement, le niveau d’exposition à la corruption est de 49,7 %. Cette proportion est plus importante dans les départements de Pikine et de Dakar avec respectivement 73,6 % et 53,5 % de niveau d’exposition à la corruption”, renseigne le document.
Selon l’étude de GIRES Consulting, le manque de volonté politique (53 %), l’insuffisance des moyens de contrôle (36,1 %) et la faible application des lois en vigueur (32,3 %), figurent parmi “les obstacles les plus remarquables à la lutte contre la corruption au Sénégal”.
En termes de genre le rapport montre que les femmes semblent moins exposées à la corruption avec un taux de 42,5 % contre 55,1 % chez les hommes, souligne le texte.
Relativement à l’âge des personnes interrogées, le groupe d’experts ajoute que le taux d’exposition à la corruption est de 45,4 % chez les jeunes contre 52,4 % chez les adultes (36 à 59 ans).
GIRES Consulting qui se présente comme un groupe d’experts pluridisciplinaires s’activant dans l’évaluation des politiques publiques note que les données à sa possession montrent que les pouvoirs publics sont encouragés à “maintenir le cap afin d’éradiquer au mieux ce fléau”.
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