Le pays a promis d’accueillir dans un premier temps 500 demandeurs d’asile bloqués en Libye. Les 66 premiers sont arrivés il y a deux semaines.
Comme eux, les nouveaux venus ont été acheminés vers un centre de transit à Gashora, au sud de Kigali. Un centre où ils resteront jusqu’à qu’une solution viable pour eux soit trouvée, explique Elise Villechalane, chargée des relations extérieures du HCR au Rwanda.
« C'est un centre de transit, c'est-à-dire qu'ils ne sont pas amenés à rester indéfiniment dans ce centre. L'objectif pour nous est de leur donner un endroit sécurisé, où ils peuvent bénéficier de service de protection et d'assistance en attendant que des solutions leur soient trouver. L'une des solutions pourrait être le rapatriement dans leur pays d'origine. C'est volontaire, c'est seulement si la personne y consent. Deuxièmement, avant de considérer le rapatriement, le HCR évalue les conditions dans le pays d'origine pour voir si elles sont réunies pour qu'on puisse aider la personne à rentrer.
Une deuxième solution serait une réinstallation dans un pays tiers, principalement les États-Unis, les pays européens, l'Australe. Mais également, le Rwanda a généreusement proposé d'accueillir un petit nombre d'entre eux qui souhaiterait s'installer au Rwanda. »
Comme eux, les nouveaux venus ont été acheminés vers un centre de transit à Gashora, au sud de Kigali. Un centre où ils resteront jusqu’à qu’une solution viable pour eux soit trouvée, explique Elise Villechalane, chargée des relations extérieures du HCR au Rwanda.
« C'est un centre de transit, c'est-à-dire qu'ils ne sont pas amenés à rester indéfiniment dans ce centre. L'objectif pour nous est de leur donner un endroit sécurisé, où ils peuvent bénéficier de service de protection et d'assistance en attendant que des solutions leur soient trouver. L'une des solutions pourrait être le rapatriement dans leur pays d'origine. C'est volontaire, c'est seulement si la personne y consent. Deuxièmement, avant de considérer le rapatriement, le HCR évalue les conditions dans le pays d'origine pour voir si elles sont réunies pour qu'on puisse aider la personne à rentrer.
Une deuxième solution serait une réinstallation dans un pays tiers, principalement les États-Unis, les pays européens, l'Australe. Mais également, le Rwanda a généreusement proposé d'accueillir un petit nombre d'entre eux qui souhaiterait s'installer au Rwanda. »
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