
Après avoir appelé à une vingtième reconstitution ambitieuse des ressources de l'Association internationale de développement de la Banque mondiale (IDA-20) lors du Sommet des chefs d'État qui s'est tenu à Abidjan en juillet 2021, les dirigeants africains se sont réunis à nouveau à Dakar, ce 7 juillet 2022, pour plaider en faveur d'un démarrage énergique de la mise en œuvre d'IDA-20, axé sur une reprise robuste et résiliente pour l'Afrique.
L’IDA est l’une des principales sources de financement de la lutte contre l’extrême pauvreté dans les pays les plus pauvres du monde. L'Afrique, est le plus grand bénéficiaire de l'IDA (39 pays sont éligibles à ses financements ) et son partenariat avec la Banque mondiale s'est accompagné, depuis six décennies, de progrès significatifs dans l'amélioration des indicateurs de développement.
« Aujourd’hui, nous sommes à Dakar pour que la reconstitution des fonds IDA 20 qui a connu un succès franc, nous puissions à travers la déclaration de Dakar se veut un appel à l’action, nous puissions donc dans l’utilisation et dans des délais rapprochés, absorbés les ressources IDA 20 », soutient le chef de l’Etat.
Cependant, estime-t-il, « cette mobilisation record vient trouver des sommes considérables qui n’ont pas encore été absorbées des différentes IDA antérieures. Parfois, les Etats n’ont pas la capacité de travailler vite, mais parfois les procédures pour l’utilisation de l’IDA 20 sont dépassées. Il faut que nous trouvions ensemble avec vous (partenaires financiers) des mécanismes pour lever rapidement cet argent qui est là dont on a besoin et qui doit être utilisé ».
À en croire Macky Sall, « si on reste sur les mêmes procédures, il va de soi que même avec les 93 milliards de dollars, dans deux ans, on va encore dire, on a décaissé un taux d’absorption de 15 % de 20 %. C’est un problème ».
Le Président en exercice de l’union africaine plaide l’urgence d’un changement profond dans la manière de l’utilisation des ressources IDA 20. « Nous souhaitons qu'IDA 20 contribue à soutenir la transformation structurelle de nos économies et ceci par l’exécution de projets et programmes en soutien à une relance durable et inclusive ».
Selon lui, il faut que l’IDA revienne sur le financement de l’infrastructure. « L’Afrique a besoin de routes, d’assainissement de centrales électriques, de chemins de fer. Si nous ne le réglons pas nous n’irons pas loin », dit le Président Sall.
L’IDA est l’une des principales sources de financement de la lutte contre l’extrême pauvreté dans les pays les plus pauvres du monde. L'Afrique, est le plus grand bénéficiaire de l'IDA (39 pays sont éligibles à ses financements ) et son partenariat avec la Banque mondiale s'est accompagné, depuis six décennies, de progrès significatifs dans l'amélioration des indicateurs de développement.
« Aujourd’hui, nous sommes à Dakar pour que la reconstitution des fonds IDA 20 qui a connu un succès franc, nous puissions à travers la déclaration de Dakar se veut un appel à l’action, nous puissions donc dans l’utilisation et dans des délais rapprochés, absorbés les ressources IDA 20 », soutient le chef de l’Etat.
Cependant, estime-t-il, « cette mobilisation record vient trouver des sommes considérables qui n’ont pas encore été absorbées des différentes IDA antérieures. Parfois, les Etats n’ont pas la capacité de travailler vite, mais parfois les procédures pour l’utilisation de l’IDA 20 sont dépassées. Il faut que nous trouvions ensemble avec vous (partenaires financiers) des mécanismes pour lever rapidement cet argent qui est là dont on a besoin et qui doit être utilisé ».
À en croire Macky Sall, « si on reste sur les mêmes procédures, il va de soi que même avec les 93 milliards de dollars, dans deux ans, on va encore dire, on a décaissé un taux d’absorption de 15 % de 20 %. C’est un problème ».
Le Président en exercice de l’union africaine plaide l’urgence d’un changement profond dans la manière de l’utilisation des ressources IDA 20. « Nous souhaitons qu'IDA 20 contribue à soutenir la transformation structurelle de nos économies et ceci par l’exécution de projets et programmes en soutien à une relance durable et inclusive ».
Selon lui, il faut que l’IDA revienne sur le financement de l’infrastructure. « L’Afrique a besoin de routes, d’assainissement de centrales électriques, de chemins de fer. Si nous ne le réglons pas nous n’irons pas loin », dit le Président Sall.

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