«On attend toujours que le préfet nous notifie sa décision d’encadrer la manifestation, de déployer les forces de l’ordre qu’il faut de faire en sorte qu’il n’y ait pas de provocation, et qu’elle se passe dans les règles de l’art », a déclaré Fadel Barro qui répondait aux questions de Sud fm.
Selon lui, cette attente que leur impose le préfet est déplorable d’autant plus qu’à chaque fois «que les Sénégalais essaient de respecter la norme en déposant leurs dossiers à temps, qu’ils soient encore obligés d’attendre».
Et de poursuivre : «Je ne sais pas si c’est un jeu pour dissuader les Sénégalais de venir à la manifestation, on ne sait pas de quoi cela retourne, mais nous pensons que dans un pays de droit avec une administration qui fonctionne normalement, on devrait, 24 heures avant la manifestation, savoir si c’est autorisée ou non».
Et au cas où le chef de l’exécutif local n’aurait pas validé leur demande, le coordonnateur de Y en a marre déclare «en ce moment, nous aviserons».
Quant aux risques que certains Sénégalais redoutent, M. Barro affirme qu’il n’y aura aucune violence car : «ce n’est pas un mouvement qui veut brûler le pays. Ce qu’on veut, c’est simplement nous rassembler et nous exprimer sur la marche de notre pays, sur la manière dont elle est tenue, sur la marche de la justice, sur éventuellement la conduite des affaires techniques et nous avons ce droit».
Selon lui, cette attente que leur impose le préfet est déplorable d’autant plus qu’à chaque fois «que les Sénégalais essaient de respecter la norme en déposant leurs dossiers à temps, qu’ils soient encore obligés d’attendre».
Et de poursuivre : «Je ne sais pas si c’est un jeu pour dissuader les Sénégalais de venir à la manifestation, on ne sait pas de quoi cela retourne, mais nous pensons que dans un pays de droit avec une administration qui fonctionne normalement, on devrait, 24 heures avant la manifestation, savoir si c’est autorisée ou non».
Et au cas où le chef de l’exécutif local n’aurait pas validé leur demande, le coordonnateur de Y en a marre déclare «en ce moment, nous aviserons».
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