Dans son interview accordée à la presse, l'ancien Premier ministre n'a pas laissé en suspens la question de l'université Sénégalaise. Abdoul Mbaye est catégorique dans sa position et propose des solutions à la limite radicales.
À défaut de profondes reformes, l'université publique sénégalaise va s'arrêter. C'est aussi simple que ça. « Il n'est pas possible d'entretenir un instrument, qui coûte très cher à l'État et qui n'a pas presque pour fonction principale que de distribuer des revenus. Et qui finalement produit des porteurs de culture générale qui ne sont pas encore utilisables par la production économique aux frais du contribuable Sénégalais », soutient Abdoul Mbaye.
« Nous ne pouvons pas mettre des réformes et la crise universitaire va se répéter, et un jour, les choses vont s'arrêter. C'est –à - dire, il faudrait fermer les universités publiques. C'est ma conviction », dira Abdoul Mbaye.
Il est catégorique dans sa position, « acceptons les réformes ou allons vers la fermeture des universités », lance Abdoul Mbaye. Il ajoute qu'il faut remettre tous à plat et il est malheureusement difficile de faire l'économie d'une certaine violence.
Selon l’ancien Pm ce qui a tué l’université, « c’est la décision politique de donner à tous les étudiants des bourses. Aucun pays au monde ne le fait encore moins un pays pauvre comme le nôtre ».
À défaut de profondes reformes, l'université publique sénégalaise va s'arrêter. C'est aussi simple que ça. « Il n'est pas possible d'entretenir un instrument, qui coûte très cher à l'État et qui n'a pas presque pour fonction principale que de distribuer des revenus. Et qui finalement produit des porteurs de culture générale qui ne sont pas encore utilisables par la production économique aux frais du contribuable Sénégalais », soutient Abdoul Mbaye.
« Nous ne pouvons pas mettre des réformes et la crise universitaire va se répéter, et un jour, les choses vont s'arrêter. C'est –à - dire, il faudrait fermer les universités publiques. C'est ma conviction », dira Abdoul Mbaye.
Il est catégorique dans sa position, « acceptons les réformes ou allons vers la fermeture des universités », lance Abdoul Mbaye. Il ajoute qu'il faut remettre tous à plat et il est malheureusement difficile de faire l'économie d'une certaine violence.
Selon l’ancien Pm ce qui a tué l’université, « c’est la décision politique de donner à tous les étudiants des bourses. Aucun pays au monde ne le fait encore moins un pays pauvre comme le nôtre ».
Autres articles
-
Farba Ngom au PJF : arrivé en ambulance, le site barricadé sous haute sécurité
-
Pool judiciaire et financier : Farba Ngom entendu ce lundi sur le fond de son dossier
-
Bloqués en RDC, plus de 500 Burundais qui vivaient à Uvira ont pu rentrer chez eux
-
Nigeria: plus de 200 élèves restent détenus dans la brousse depuis leur enlèvement fin novembre
-
68e session de la CEDEAO : le Sénégal obtient la Présidence de la Commission de l'Organisation de 2026 à 2030




Farba Ngom au PJF : arrivé en ambulance, le site barricadé sous haute sécurité


