«Le Président Sall n’a pas l’intention du tout de faire trois mandats». C’est l’avis d’Abdoulaye Diouf Sarr hier, qui était hier dans sa commune de Yoff. Selon lui, ceux qui agitent cette idée n’ont rien compris, car si Macky Sall est réélu pour 5 ans en 2019, le mandat en cours sera considéré comme son premier mandat. Ce qui veut dire que Macky Sall ne pourra, en aucun cas aller au-delà de 2022, si le référendum arrivait à passer.
Selon lui, certains des précurseurs de NON nourrissaient le désir de voir le Président Sall se détourner de la Constitution : «Il y a dans ce pays des dynamiques qui aimeraient qu’on déchire les règles fondamentales de la République. Autrement dit, on insulte le Conseil constitutionnel et on dit que son avis ne sert à rien. Alors que depuis 1960, il n’y a qu’un seul président de la République qui a osé tourner le dos au Conseil constitutionnel. Ce serait donc fragiliser la République alors que nous ne sommes pas prêts à le faire. Le Conseil constitutionnel a donné son avis, il faut absolument le suivre».
En sus de cette classe de politiciens, révèle le ministre de la Gouvernance locale, d’autres acteurs en profitent pour se faire un nom et, il trouve que : «c’est un manque de respect à l’endroit des Sénégalais, car ils ne sont jamais intéressés à l’avenir du pays. Suivez mon regard et vous saurez de quel parti suis-je en train de parler», martèle-t-il.
Selon lui, certains des précurseurs de NON nourrissaient le désir de voir le Président Sall se détourner de la Constitution : «Il y a dans ce pays des dynamiques qui aimeraient qu’on déchire les règles fondamentales de la République. Autrement dit, on insulte le Conseil constitutionnel et on dit que son avis ne sert à rien. Alors que depuis 1960, il n’y a qu’un seul président de la République qui a osé tourner le dos au Conseil constitutionnel. Ce serait donc fragiliser la République alors que nous ne sommes pas prêts à le faire. Le Conseil constitutionnel a donné son avis, il faut absolument le suivre».
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