En effet, les limiers de la SR ont exposé au Procureur de la République des indices graves tendant à déclencher des poursuites contre CBAO-Attijari dans l’affaire Aïda Ndiongue. Le Directeur général, Abdelkrim Raghni est dans le collimateur des hommes du parquet de Dakar. Cheikh Sarr, patron de la SR et ses hommes sont formels : la banque n’a pas joué franc jeu avec eux.
Agissant sur le compte de Serigne Bassirou Gueye, Procureur de la République qui avait servi des réquisitions à toutes les banques de la place. Ce, afin de signaler tout mouvement de compte au nom de la responsable libérale dans les liens de la détention depuis le 17 décembre dernier à Camp pénal, les enquêteurs constatent que CBAO-Attijari bien qu’ayant répondu à la réquisition, n’avait pas tout dit. Elle cherchait à protéger un «très bon client ».
Pis, la banque n’avait pas signalé l’existence des sept (7) coffres au nom d’Aïda Ndiongue. C’est à la suite de trois (3) perquisitions que les pandores découvrent pas moins de 26 comptes bancaires. « Croyez-le, cette affaire ne s’arrêtera pas là. Ce qui est le plus suspect, c’est que la banque livrait les informations au compte gouttes. Aujourd’hui, ces 3 comptes, deux (2) jours plus tard, quatre (4)…
Alors que toutes ces informations pouvaient être communiquées le même jour vu que la banque possède tous les états », murmure une source autorisée du ministère de la justice au journal « libération » qui parle de l’autre manquement auquel s’est rendu coupable, CBAO-Attajari à savoir le viol de la règle essentielle pour la lutte contre l’enrichissement illicite et le blanchiment d’argent en ne faisant pas de déclaration de soupçon à la Cellule Nationale de Traitement des Informations Financières (CENTIF). Ce, au moment les sommes provenaient d’une grosse ponte de l’ancien régime Wade. Soupçonnés de « deal » avec Aïda Ndiongue, les services d’Abdelkarim Raghni devront répondre de l’accusation de « rétention d’informations », livre le journal « libération ».
Agissant sur le compte de Serigne Bassirou Gueye, Procureur de la République qui avait servi des réquisitions à toutes les banques de la place. Ce, afin de signaler tout mouvement de compte au nom de la responsable libérale dans les liens de la détention depuis le 17 décembre dernier à Camp pénal, les enquêteurs constatent que CBAO-Attijari bien qu’ayant répondu à la réquisition, n’avait pas tout dit. Elle cherchait à protéger un «très bon client ».
Pis, la banque n’avait pas signalé l’existence des sept (7) coffres au nom d’Aïda Ndiongue. C’est à la suite de trois (3) perquisitions que les pandores découvrent pas moins de 26 comptes bancaires. « Croyez-le, cette affaire ne s’arrêtera pas là. Ce qui est le plus suspect, c’est que la banque livrait les informations au compte gouttes. Aujourd’hui, ces 3 comptes, deux (2) jours plus tard, quatre (4)…
Alors que toutes ces informations pouvaient être communiquées le même jour vu que la banque possède tous les états », murmure une source autorisée du ministère de la justice au journal « libération » qui parle de l’autre manquement auquel s’est rendu coupable, CBAO-Attajari à savoir le viol de la règle essentielle pour la lutte contre l’enrichissement illicite et le blanchiment d’argent en ne faisant pas de déclaration de soupçon à la Cellule Nationale de Traitement des Informations Financières (CENTIF). Ce, au moment les sommes provenaient d’une grosse ponte de l’ancien régime Wade. Soupçonnés de « deal » avec Aïda Ndiongue, les services d’Abdelkarim Raghni devront répondre de l’accusation de « rétention d’informations », livre le journal « libération ».
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