L’affaire dite du massacre de Boffa-Bayotte (un village du Sénégal situé en Basse-Casamance) refait surface. Les 25 détenus inculpés dans ce dossier, vont entamer lundi, 19 avril 2020, une grève de la faim. Ils exigent l’ouverture d’un procès. Le journaliste René Capain Bassène et ses camarades protestent aussi contre les mauvaises conditions de détention. Ils sont détenus à la maison d’arrêt et de correction de Ziguinchor.
René Capin Bassène est le présumé commanditaire de la tuerie de Boffa-Bayotte, un village du Sénégal situé en Basse-Casamance. Son avocat, Me Ciré Clédor Ly, a soulevé, dans sa demande de liberté provisoire, la présomption d’innocence et les dénégations de ses clients.
Le 6 janvier 2018, 14 bûcherons ont été tués dans la forêt de Boffa-Bayotte en Casamance. Une attaque qui a fait «14 morts constatés et 7 blessés et trois personnes qui réussiront à s’échapper indemnes ». L’enquête ouverte à la suite de ce drame et les premières auditions effectuaient ont révélé que « les victimes sont tombées dans une embuscade. »
Les personnes inculpées, au nombre de 25, sont poursuivies pour quatre (4) chefs d’inculpation « association de malfaiteurs, assassinat, participation à un mouvement insurrectionnel et détention d’armes à feu sans autorisation ».
René Capin Bassène est le présumé commanditaire de la tuerie de Boffa-Bayotte, un village du Sénégal situé en Basse-Casamance. Son avocat, Me Ciré Clédor Ly, a soulevé, dans sa demande de liberté provisoire, la présomption d’innocence et les dénégations de ses clients.
Le 6 janvier 2018, 14 bûcherons ont été tués dans la forêt de Boffa-Bayotte en Casamance. Une attaque qui a fait «14 morts constatés et 7 blessés et trois personnes qui réussiront à s’échapper indemnes ». L’enquête ouverte à la suite de ce drame et les premières auditions effectuaient ont révélé que « les victimes sont tombées dans une embuscade. »
Les personnes inculpées, au nombre de 25, sont poursuivies pour quatre (4) chefs d’inculpation « association de malfaiteurs, assassinat, participation à un mouvement insurrectionnel et détention d’armes à feu sans autorisation ».
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