Les 25 détenus inculpés dans l’affaire dite du massacre de Boffa-Bayotte (un village du Sénégal situé en Basse-Casamance) ont mis leur menace en exécution. Ils vont entamer à partir de ce lundi matin, une grève de la faim illimitée. C’est pour exiger l’ouverture de leur procès après trois (3) ans de détention mais aussi les mauvaises conditions de détention.
Les familles du journaliste René Capain Bassène et de ses camarades qui se disent très inquiètes de cette grève de la faim, tiennent pour responsable l’Etat du Sénégal de tout ce qui leur arrivera.
Odiette Coly, épouse du journaliste René Capin Bassène, présumé commanditaire de la tuerie de Boffa-Bayotte de déclarer sur la Rfm : « Je suis inquiète de la grève de la faim. Je les comprends aussi. Ce qu’ils veulent, c’est de pouvoir un jour s’expliquer devant le monde entier, éclairer l’opinion nationale et internationale. En fait, ils ne savent pas pourquoi ils ont été arrêtés ».
Mme Bassène et les autres familles des détenus annoncent qu'ils vont accompagner les détenus dans leur initiative car, selon eux, « la situation dans laquelle ils se trouvent est injuste».
Les personnes inculpées, au nombre de 25, sont poursuivies pour quatre (4) chefs d’inculpation « association de malfaiteurs, assassinat, participation à un mouvement insurrectionnel et détention d’armes à feu sans autorisation ».
Les familles du journaliste René Capain Bassène et de ses camarades qui se disent très inquiètes de cette grève de la faim, tiennent pour responsable l’Etat du Sénégal de tout ce qui leur arrivera.
Odiette Coly, épouse du journaliste René Capin Bassène, présumé commanditaire de la tuerie de Boffa-Bayotte de déclarer sur la Rfm : « Je suis inquiète de la grève de la faim. Je les comprends aussi. Ce qu’ils veulent, c’est de pouvoir un jour s’expliquer devant le monde entier, éclairer l’opinion nationale et internationale. En fait, ils ne savent pas pourquoi ils ont été arrêtés ».
Mme Bassène et les autres familles des détenus annoncent qu'ils vont accompagner les détenus dans leur initiative car, selon eux, « la situation dans laquelle ils se trouvent est injuste».
Les personnes inculpées, au nombre de 25, sont poursuivies pour quatre (4) chefs d’inculpation « association de malfaiteurs, assassinat, participation à un mouvement insurrectionnel et détention d’armes à feu sans autorisation ».
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