L’affaire du carburant toxique vendu par des négociants suisses en Afrique, notamment au Sénégal, est un scandale sur tous les plans. En lieu et place d’une réaction sérieuse, certains parmi les pétroliers ont tenté de faire croire que c’est Total qui se cacherait derrière cette offensive puisque le groupe français ne figure pas dans le rapport.
C’est une légende pour la bonne et simple raison que Public Eye, basée à Lausanne, s’intéresse particulièrement à l’impact des sociétés suisses sur les pays pauvres. Raison pour laquelle, l’Ong qui regroupe 250 000 membres, a concentré ses recherches sur les négociants suisses à savoir Trafigura, Oryx, Vitol…
Selon « Libération », depuis plus de cinquante ans, Public Eye porte un regard critique sur l’impact de la Suisse et de ses entreprises sur les pays pauvres. Elle lutte contre les injustices trouvant leur origine en Suisse et demande le respect des droits humains par tout dans le monde. Public Eye agit pour un monde plus juste.
Ainsi s’il a fait ce travail de recherche, c’est surtout à cause de l’affaire Probo Koala qui avait fait plusieurs morts en Côte d’Ivoire. Or, dix ans après ce drame, Trafigura qui est au cœur du scandale n’a pas révélé la nature des déchets toxiques déversés à Abidjan (Côte d’Ivoire).
Amnesty International a d’ailleurs produit un rapport, au mois d’août passé, pour s’en indigner.
C’est une légende pour la bonne et simple raison que Public Eye, basée à Lausanne, s’intéresse particulièrement à l’impact des sociétés suisses sur les pays pauvres. Raison pour laquelle, l’Ong qui regroupe 250 000 membres, a concentré ses recherches sur les négociants suisses à savoir Trafigura, Oryx, Vitol…
Selon « Libération », depuis plus de cinquante ans, Public Eye porte un regard critique sur l’impact de la Suisse et de ses entreprises sur les pays pauvres. Elle lutte contre les injustices trouvant leur origine en Suisse et demande le respect des droits humains par tout dans le monde. Public Eye agit pour un monde plus juste.
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