La défaite (88-80) des Lions du Sénégal face au Mali laisse un goût amer. Si la domination physique à l'intérieur a été une constante, l'efficacité a cruellement fait défaut, comme en témoignent les statistiques qui expliquent point par point ce revers.
Une avalanche de points perdus
C'est une évidence : les Lions ont manqué de réussite sur des occasions pourtant simples. Avec seulement 53,3 % aux lancers francs contre 68,2 % pour le Mali, le Sénégal a laissé filer des points cruciaux, un écart qui coûte cher dans un match aussi serré.
Le manque d'adresse ne s'arrête pas là. Malgré une très bonne performance à deux points (63,2 %), l'équipe a buté sur le périmètre, n'affichant qu'un faible 25 % de réussite à trois points, contre 36 % pour les Maliens. Une différence d'efficacité qui a privé les Lions de précieux points "bonus".
Des pertes de balle coûteuses
Le match a également été marqué par un manque de fluidité dans le jeu sénégalais. Les Lions ont accumulé 17 pertes de balle contre 14 pour le Mali, et n'ont délivré que 16 passes décisives, loin des 23 de leurs adversaires.
Le Mali a parfaitement su exploiter ces erreurs et cette mauvaise circulation de balle. Les Maliens ont converti les balles perdues en 23 points, et leurs 23 passes décisives ont alimenté un jeu en contre-attaque qui leur a rapporté 23 points, contre 18 pour le Sénégal.
Le Mali, maître du rythme et des temps forts
La domination malienne s'est aussi manifestée dans la gestion du match. Le Mali a su créer la plus longue série de points (10-0) et a mené pendant plus de 29 minutes, contre seulement 6 minutes et 49 secondes pour le Sénégal. L'écart maximal de +12 points atteint par le Mali a été décisif, et c'est un "run" entre le deuxième et le troisième quart-temps qui a fait basculer la rencontre.
Même dans les domaines où le Sénégal a dominé, le manque d'efficacité a persisté. Les 14 rebonds offensifs (contre 8 pour le Mali) n'ont rapporté que deux points de plus sur les "deuxièmes chances", car les finitions ratées et les lancers francs manqués ont dilué la valeur de ces possessions supplémentaires.
En résumé, si le Sénégal a dominé physiquement et dans la raquette (63,2 % à 2 points, 46 points dans la peinture), la défaite a été provoquée par un manque d'efficacité aux tirs extérieurs et aux lancers francs, ainsi qu'une mauvaise gestion des balles et du rythme, des faiblesses que le Mali a su transformer en victoire.
Une avalanche de points perdus
C'est une évidence : les Lions ont manqué de réussite sur des occasions pourtant simples. Avec seulement 53,3 % aux lancers francs contre 68,2 % pour le Mali, le Sénégal a laissé filer des points cruciaux, un écart qui coûte cher dans un match aussi serré.
Le manque d'adresse ne s'arrête pas là. Malgré une très bonne performance à deux points (63,2 %), l'équipe a buté sur le périmètre, n'affichant qu'un faible 25 % de réussite à trois points, contre 36 % pour les Maliens. Une différence d'efficacité qui a privé les Lions de précieux points "bonus".
Des pertes de balle coûteuses
Le match a également été marqué par un manque de fluidité dans le jeu sénégalais. Les Lions ont accumulé 17 pertes de balle contre 14 pour le Mali, et n'ont délivré que 16 passes décisives, loin des 23 de leurs adversaires.
Le Mali a parfaitement su exploiter ces erreurs et cette mauvaise circulation de balle. Les Maliens ont converti les balles perdues en 23 points, et leurs 23 passes décisives ont alimenté un jeu en contre-attaque qui leur a rapporté 23 points, contre 18 pour le Sénégal.
Le Mali, maître du rythme et des temps forts
La domination malienne s'est aussi manifestée dans la gestion du match. Le Mali a su créer la plus longue série de points (10-0) et a mené pendant plus de 29 minutes, contre seulement 6 minutes et 49 secondes pour le Sénégal. L'écart maximal de +12 points atteint par le Mali a été décisif, et c'est un "run" entre le deuxième et le troisième quart-temps qui a fait basculer la rencontre.
Même dans les domaines où le Sénégal a dominé, le manque d'efficacité a persisté. Les 14 rebonds offensifs (contre 8 pour le Mali) n'ont rapporté que deux points de plus sur les "deuxièmes chances", car les finitions ratées et les lancers francs manqués ont dilué la valeur de ces possessions supplémentaires.
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