Le président Abdelaziz Bouteflika au Palais présidentiel à Alger, le 26 November 2012 Reuters/Louafi Larbi
Ils sont cinq « experts » nommés par le président lui-même. Leur objectif est technique : faire en sorte que les propositions du parlement et du gouvernement soient cohérentes. Ils pourront aussi donner un avis global.
Parmi les membres de cette nouvelle commission, figurent le représentant de l’Algérie pour le Conseil des droits de l’homme de l’ONU, un professeur d’université, un ancien ministre de la Justice et deux sénateurs proches du président.
Commission-alibi
Une mission technique menée par des proches d’Abdelaziz Bouteflika, c’est ce qui faire dire au journal EL Watan, que cette commission n’est qu’un alibi, même si le Premier ministre a affirmé hier qu’elle n’aurait aucune limite. Car la révision de la Constitution sera au final validée ou non par le président.
Hors cette réforme, promise il y a 2 ans, doit notamment étudier la question du nombre de mandats présidentiels. Aujourd’hui, le texte fixe la limite à 3 mandats. Ce qui ne permettrait pas à Abdelaziz Boutelfika de se représenter en 2014. En 2008, le président avait déjà fait modifier la Constitution pour pourvoir être réélu l’année suivante.
Source: RFI
Parmi les membres de cette nouvelle commission, figurent le représentant de l’Algérie pour le Conseil des droits de l’homme de l’ONU, un professeur d’université, un ancien ministre de la Justice et deux sénateurs proches du président.
Commission-alibi
Une mission technique menée par des proches d’Abdelaziz Bouteflika, c’est ce qui faire dire au journal EL Watan, que cette commission n’est qu’un alibi, même si le Premier ministre a affirmé hier qu’elle n’aurait aucune limite. Car la révision de la Constitution sera au final validée ou non par le président.
Hors cette réforme, promise il y a 2 ans, doit notamment étudier la question du nombre de mandats présidentiels. Aujourd’hui, le texte fixe la limite à 3 mandats. Ce qui ne permettrait pas à Abdelaziz Boutelfika de se représenter en 2014. En 2008, le président avait déjà fait modifier la Constitution pour pourvoir être réélu l’année suivante.
Source: RFI
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