Mme Merkel sort victorieuse de ce scrutin mais affaiblie par un score électoral décevant.
"Une victoire cauchemardesque", résume le quotidien Bild.
Victoire étriquée
Elle doit former un gouvernement avec une nouvelle majorité dans un paysage politique éclaté.
C'est sa quatrième victoire consécutive depuis son arrivée au pouvoir en 2005.
Cette victoire étriquée limite fortement sa capacité à forger une coalition majoritaire au Parlement.
Et les sociaux-démocrates, ses partenaires jusqu'ici, ont annoncé qu'ils rejoignaient les bancs de l'opposition après un score historiquement bas.
Il ne lui reste sur le papier qu'une solution: une alliance inédite au niveau national réunissant son parti conservateur, les Libéraux du FDP, qui reviennent au Bundestag avec 10,7%, et les Verts, qui ont atteint 8,9%.
L'AFD, la droite nationaliste, a commencé à se déchirer au lendemain même de son succès historique.
Elle a raflé 12,6% des suffrages après une campagne prenant pour modèle le président américain Donald Trump et les partisans de la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne.
Ce succès a été obtenu au prix d'une radicalisation du discours du mouvement, avec des propos révisionnistes sur le nazisme, des attaques très dures contre Angela Merkel, les musulmans et les étrangers.
Une des dirigeantes du parti, qui fut jusqu'en début d'année sa figure de proue, Frauke Petry, a créé la surprise en annonçant lundi qu'elle refusait de siéger au sein du groupe parlementaire de l'AfD à la chambre des députés.
Elle s'en est pris notamment à l'un des deux chefs de file de la campagne du parti, Alexander Gauland, qui a annoncé juste après les élections que l'AfD, forte de son succès, allait mener "la chasse" à Angela Merkel.
"Une victoire cauchemardesque", résume le quotidien Bild.
Victoire étriquée
Elle doit former un gouvernement avec une nouvelle majorité dans un paysage politique éclaté.
C'est sa quatrième victoire consécutive depuis son arrivée au pouvoir en 2005.
Cette victoire étriquée limite fortement sa capacité à forger une coalition majoritaire au Parlement.
Et les sociaux-démocrates, ses partenaires jusqu'ici, ont annoncé qu'ils rejoignaient les bancs de l'opposition après un score historiquement bas.
Il ne lui reste sur le papier qu'une solution: une alliance inédite au niveau national réunissant son parti conservateur, les Libéraux du FDP, qui reviennent au Bundestag avec 10,7%, et les Verts, qui ont atteint 8,9%.
L'AFD, la droite nationaliste, a commencé à se déchirer au lendemain même de son succès historique.
Elle a raflé 12,6% des suffrages après une campagne prenant pour modèle le président américain Donald Trump et les partisans de la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne.
Ce succès a été obtenu au prix d'une radicalisation du discours du mouvement, avec des propos révisionnistes sur le nazisme, des attaques très dures contre Angela Merkel, les musulmans et les étrangers.
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