«Nous avons l’habitude de poser des questions aux gros éleveurs. On les appelle d’ailleurs "les gros porteurs", qui sont les grands importateurs de moutons. C’est eux qui peuvent nous dire à chaque fois s’il y aura ou non une pénurie. A ce jour, ils nous ont assuré qu’il n’y en aura pas». Cette déclaration est d’Aminata Mbengue Ndiaye, le ministre de l’Elevage et des Productions animales qui faisait l’état des lieux de vente de moutons, en cette veille de Tabaski.
Ces déclarations découlent de l’inquiétude de certains Sénégalais quant au manque de moutons constaté dans la capitale sénégalaise et dans certaines villes où il y a d’habitude une affluence d’ovins.
Aminata Mbengue Ndiaye de poursuivre : «Je voudrai également dire sur ces risques qui sont annoncés, que c’est parce qu’ils m’ont entendue parler de ce que nous avons trouvé à Kahone. Et là-bas, à la même période l’année dernière, on était à 59 camions. Ce qui n’est rien par rapport aux milliers de camions qui arrivent d’habitude. Mais, à la même période cette année, il n’y en a que 9, mais avant qu’on ne quitte, 17 camions étaient arrivés».
Selon elle, la cause de ces retards est due au fait que les camions quittant des pays comme le Mali, trouvaient des zones d’attente afin de bénéficier des pâturages dans ces zones car, les aliments coûtent chers au Sénégal.
Ces déclarations découlent de l’inquiétude de certains Sénégalais quant au manque de moutons constaté dans la capitale sénégalaise et dans certaines villes où il y a d’habitude une affluence d’ovins.
Aminata Mbengue Ndiaye de poursuivre : «Je voudrai également dire sur ces risques qui sont annoncés, que c’est parce qu’ils m’ont entendue parler de ce que nous avons trouvé à Kahone. Et là-bas, à la même période l’année dernière, on était à 59 camions. Ce qui n’est rien par rapport aux milliers de camions qui arrivent d’habitude. Mais, à la même période cette année, il n’y en a que 9, mais avant qu’on ne quitte, 17 camions étaient arrivés».
Selon elle, la cause de ces retards est due au fait que les camions quittant des pays comme le Mali, trouvaient des zones d’attente afin de bénéficier des pâturages dans ces zones car, les aliments coûtent chers au Sénégal.
Autres articles
-
CFEE : les Inspecteurs de l’éducation et de la formation invités à développer des stratégies pour booster les résultats en 2024
-
Anta Babacar invite les femmes à se lancer dans la politique et ne pas se contenter des nominations
-
Chocs extérieurs, contexte difficile : le FMI salue la résilience de l’économie sénégalaise en 2023
-
Sénégal : le FMI prévoit une baisse de la croissance économique pour 2024
-
Faible représentativité des femmes : les féministes plaident "l'inclusion des femmes et des filles" dans les instances de gouvernance