Kémi Séba n’est pas le bienvenu en Guinée Conakry. C’est ce qui découle de la note de l’organisation France Dégage qui informe que le Franco-Béninois est retenu à l’aéroport de ce pays depuis cet après-midi à 14 heures, alors qu’il devait participer à une tournée qui dénonce l’occupation des pays africains par les pays occidentaux et plus particulièrement la France.
«Les organisations «Le peuple n’en veut plus» et Urgences Panafricanistes ont décidé d’organiser en Guinée une tournée dénommée «Le pouvoir au peuple». Cette tournée qui aura lieu du 02 au 10 mars commence sous de mauvais auspices. Notre camarade Kémi Seba, membre d’Urgences Panafricaniste est retenu à l’aéroport de Conakry depuis 14h. Nous ne connaissons pas encore le motif», informe le document.
Selon eux, cette posture du Président guinéen n’est pas unique en son genre puisque, avant lui, son homologue sénégalais avait déjà interdit leur «contre-sommet en 2014», avant de décider de la «déportation scandaleuse et illégale de Kémi Seba par le proconsul de la France au Sénégal : Macky Sall». Mais aussi, «l’interdiction par Ouattara des activités de la société civile lors du dernier sommet Afrique-UE à Abidjan en fin 2017 et par l’arrestation de 33 membres de FRANCE DEGAGE lors de la venue de Macron au Sénégal dont 12 ont été maintenus pendant 5 jours au commissariat de police de Bel-Air».
N’empêche, ils ne comptent pas baisser les bras, et invitent du coup «les démocrates, les organisations des droits de l’homme, les panafricanistes anti impérialistes…à refuser l’oppression et l’atteinte des libertés démocratiques des résistants anti impérialistes par les gouvernements africains».
«Les organisations «Le peuple n’en veut plus» et Urgences Panafricanistes ont décidé d’organiser en Guinée une tournée dénommée «Le pouvoir au peuple». Cette tournée qui aura lieu du 02 au 10 mars commence sous de mauvais auspices. Notre camarade Kémi Seba, membre d’Urgences Panafricaniste est retenu à l’aéroport de Conakry depuis 14h. Nous ne connaissons pas encore le motif», informe le document.
Selon eux, cette posture du Président guinéen n’est pas unique en son genre puisque, avant lui, son homologue sénégalais avait déjà interdit leur «contre-sommet en 2014», avant de décider de la «déportation scandaleuse et illégale de Kémi Seba par le proconsul de la France au Sénégal : Macky Sall». Mais aussi, «l’interdiction par Ouattara des activités de la société civile lors du dernier sommet Afrique-UE à Abidjan en fin 2017 et par l’arrestation de 33 membres de FRANCE DEGAGE lors de la venue de Macron au Sénégal dont 12 ont été maintenus pendant 5 jours au commissariat de police de Bel-Air».
N’empêche, ils ne comptent pas baisser les bras, et invitent du coup «les démocrates, les organisations des droits de l’homme, les panafricanistes anti impérialistes…à refuser l’oppression et l’atteinte des libertés démocratiques des résistants anti impérialistes par les gouvernements africains».
Autres articles
-
Baisse du coût de la vie : le Président Diomaye en "aparté" avec le secteur privé ce mardi
-
Corruption dans la délivrance des actes de naissance : le président du tribunal de Mbacké met en garde les agents de l’état civil
-
Guédiawaye : Des chauffeurs de taxi clandos observent une grève illimitée
-
Université de Ziguinchor : le SAES contre une prolongation du mandat du recteur et exige le paiement sans délais des heures complémentaires
-
Daaka de Médina Gounass : l'Etat a pris les devants pour une bonne organisation