Devant les députés ce matin, Amadou Ba a défendu la loi de finance rectificative (Lfr) qu’il était venu leur présenter. Déclarant au passage que : «l’économie sénégalaise nécessite sur le plan gestion budgétaire une approche très pragmatique et très serrée pour pouvoir mettre en œuvre la vision du président de la République déclinée à travers le «Plan Sénégal émergent».
Faisant un rapide feed-back, l’argentier de l’Etat effectue une comparaison entre le moment où le Président Macky Sall est arrivé au pouvoir et maintenant. Ce qui lui a permis d’affirmer qu’: «en arrivant au pouvoir en 2012, l’économie sénégalaise avait un taux de croissance très faible, qui était inférieur au poids démographique. 1,7 % de taux de croissance avec une population qui augmente à un rythme de 2.7% à peu près, un déficit budgétaire de 6,7%, mais surtout un endettement qui a beaucoup évolué entre 2006 et 2011, et le service de la dette a augmenté de près de 279% exactement».
Selon lui, seule leur démarche est faisable dans la situation actuelle du Sénégal : «Dans ce contexte, lorsque vous voulez faire une gestion budgétaire saine et transparente, vous devez, effectivement dans vos prévisions, essayer d’avoir un cadrage très sain, se rapprocher juste de vos objectifs, veiller aussi à la continuité de l’Etat, et pouvoir réallouer les recettes ou supporter des dépenses qui pour une raison ou pour ne autre ne peuvent pas être exécutées d’autant plus que le pays est en manque de ressources. C’est ce qui motive cette Lfr, ce qui a motivé certainement les Lfr passées, et ce qui pousse aussi les autres pays à faire des Lfr».
Faisant un rapide feed-back, l’argentier de l’Etat effectue une comparaison entre le moment où le Président Macky Sall est arrivé au pouvoir et maintenant. Ce qui lui a permis d’affirmer qu’: «en arrivant au pouvoir en 2012, l’économie sénégalaise avait un taux de croissance très faible, qui était inférieur au poids démographique. 1,7 % de taux de croissance avec une population qui augmente à un rythme de 2.7% à peu près, un déficit budgétaire de 6,7%, mais surtout un endettement qui a beaucoup évolué entre 2006 et 2011, et le service de la dette a augmenté de près de 279% exactement».
Selon lui, seule leur démarche est faisable dans la situation actuelle du Sénégal : «Dans ce contexte, lorsque vous voulez faire une gestion budgétaire saine et transparente, vous devez, effectivement dans vos prévisions, essayer d’avoir un cadrage très sain, se rapprocher juste de vos objectifs, veiller aussi à la continuité de l’Etat, et pouvoir réallouer les recettes ou supporter des dépenses qui pour une raison ou pour ne autre ne peuvent pas être exécutées d’autant plus que le pays est en manque de ressources. C’est ce qui motive cette Lfr, ce qui a motivé certainement les Lfr passées, et ce qui pousse aussi les autres pays à faire des Lfr».
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