Pour le Président du conseil national de régulation de l’audiovisuel, Babacar Touré, l’atelier vise à comprendre d’abord et à agir ensuite pour aider les acteurs culturels producteurs de « Séries télévisées » notamment les sketches, à mieux orienter leurs œuvres pour relever le défi de la qualité face à la tentation de la quantité » souligne M. Touré. En effet la revue de l’état de la liberté d’expression dans le paysage audiovisuel en 2014, a montré une présence quantitative de 17 télés et plus de 200 radios en opération. Un secteur en pleine expansion ou la performance qualitative est plus subtile à établir, et qui demande une meilleure régulation.
Et, pour comprendre ce qui se passe Babacar Touré et ses pairs se sont posés un certain nombre de questions à savoir : quel est l’usage fait par les télévisions et les radios des concessions en faveur d’une liberté d’expression effective au bénéfice de la société ? Quel est l’esprit du pacte social ? Quelles sont les contreparties attendues des entreprises médiatiques ? Qu’avons-nous fait de cette liberté de presse? De quel audiovisuel voulons-nous ?
Autant d’interrogations qui montrent que la télé et les programmes impactent parfois de manière négative sur le public jeune. Des questionnements qui ont animé les échanges lors de cet atelier. Toutefois pour le Président du Cnra, le rôle de la télévision est bien clair c’est informer et éduquer.
A la question à savoir quel usage fait-on de la liberté de la presse, Babacar Touré tient à préciser que la liberté de la presse à des limites « Oui, le principe de la liberté d’expression a des limites. Ces limites sont celles qui découlent des libertés individuelles et collectives des citoyens et de leur nécessaire protection contre tout abus, préjudice, stéréotype, stigmatisation, viol de conscience, agression ou représentation dévalorisante ou dégradante » déclare M. Touré.
Et à en croire, Babacar Touré ce travail, est du ressort de l’organe qu’il dirige. Et, en tant que organe de conseil, il leur incombe la tâche de porter un regard sur les programmes qui sont diffusés sur les chaines de télés. Car le Cnra a une mission bien définie « Notre rôle, au CNRA, est le monitoring et la régulation. L’essence de la régulation, qui guide le travail du conseil, est de maintenir, une température constante et un équilibre dans le corps vivant, divers et complexe qu’est notre société. Des éruptions de fièvre, des réactions épidermiques, voire émotionnelles, peuvent se produire, jusqu’à heurter nos sensibilités, perturber notre sens commun, ou même défier notre libre arbitre. Cela arrive lorsque des idées, des images et des sons diffusés, avec des tonalités variables, dans la substance comme dans la forme charriées par les médias qui irriguent et énervent notre vie quotidienne. En toute liberté. En effet, la liberté d’expression est l’amatrice du procès de production et de diffusion audiovisuelle », conclut le Président Touré.
Et, pour comprendre ce qui se passe Babacar Touré et ses pairs se sont posés un certain nombre de questions à savoir : quel est l’usage fait par les télévisions et les radios des concessions en faveur d’une liberté d’expression effective au bénéfice de la société ? Quel est l’esprit du pacte social ? Quelles sont les contreparties attendues des entreprises médiatiques ? Qu’avons-nous fait de cette liberté de presse? De quel audiovisuel voulons-nous ?
Autant d’interrogations qui montrent que la télé et les programmes impactent parfois de manière négative sur le public jeune. Des questionnements qui ont animé les échanges lors de cet atelier. Toutefois pour le Président du Cnra, le rôle de la télévision est bien clair c’est informer et éduquer.
A la question à savoir quel usage fait-on de la liberté de la presse, Babacar Touré tient à préciser que la liberté de la presse à des limites « Oui, le principe de la liberté d’expression a des limites. Ces limites sont celles qui découlent des libertés individuelles et collectives des citoyens et de leur nécessaire protection contre tout abus, préjudice, stéréotype, stigmatisation, viol de conscience, agression ou représentation dévalorisante ou dégradante » déclare M. Touré.
Et à en croire, Babacar Touré ce travail, est du ressort de l’organe qu’il dirige. Et, en tant que organe de conseil, il leur incombe la tâche de porter un regard sur les programmes qui sont diffusés sur les chaines de télés. Car le Cnra a une mission bien définie « Notre rôle, au CNRA, est le monitoring et la régulation. L’essence de la régulation, qui guide le travail du conseil, est de maintenir, une température constante et un équilibre dans le corps vivant, divers et complexe qu’est notre société. Des éruptions de fièvre, des réactions épidermiques, voire émotionnelles, peuvent se produire, jusqu’à heurter nos sensibilités, perturber notre sens commun, ou même défier notre libre arbitre. Cela arrive lorsque des idées, des images et des sons diffusés, avec des tonalités variables, dans la substance comme dans la forme charriées par les médias qui irriguent et énervent notre vie quotidienne. En toute liberté. En effet, la liberté d’expression est l’amatrice du procès de production et de diffusion audiovisuelle », conclut le Président Touré.
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