Le palais de justice de Paris a été pris d'assaut par 400 journalistes et des dizaines d'admirateurs. Tous se sont pressés pour apercevoir Kim Kardashian. Mais c'est par une porte à l'arrière du bâtiment que la reine des influenceuses est entrée. Une façon de rappeler qu'elle n'est pas venue pour les photographes, mais bien pour témoigner devant une cour d'assises.
Sous les dorures de la salle d'audience, loin de la cohue extérieure, l'ambiance était bien différente. Entièrement vêtue de noir, Kim Kardashian s'est présentée face à la cour, escortée par cinq gardes du corps. Neuf ans après les faits, c'est une femme toujours traumatisée qui s'est exprimée sur cette fameuse nuit du 2 octobre 2016, quand deux hommes encagoulés ont pénétré dans sa chambre d'hôtel.
Venue pour la Fashion week 2016, Kim Kardashian n'a rien oublié de ce braquage « traumatisant ». L'influenceuse a d'abord cru à un acte terroriste. En fait, c'est sa bague de fiançailles – un diamant évalué à 3,5 millions d'euros, offert par Kanye West, son époux de 2014 à 2021 – et ses effets personnels que recherchaient les malfaiteurs. « L'un d'eux manipule mon sac sur le lit, l'autre me braque avec son arme, raconte la milliardaire à la barre. Le premier me tire vers lui. Ma nuisette tombe, je suis nue. Je crois que je vais me faire violer. »
Bâillonnée avec du scotch, en état de choc, Kim Kardashian entame une prière et pense à sa mère, sa fille. « J'étais certaine de mourir ce soir-là », confie-t-elle. Au moment des faits, son garde du corps est absent. « Je me croyais en sécurité à l'hôtel, mais cette expérience a tout changé pour moi », continue-t-elle. Depuis, « Kim K » n'affiche plus bijoux et le train de vie luxueux sur ses réseaux sociaux. Désormais, elle limite désormais ses publications et s'entoure de bien plus de gardes du corps. Le butin du braquage, évalué à 9 millions d'euros, ne sera jamais retrouvé.
L'interrogatoire s'est achevé par les mots d'excuse d'un des accusés, Aomar Aït Khedache. Ce dernier, aujourd'hui âgé de 69 ans, avait écrit cette lettre à Kim Kardashian en 2017. Ce courrier n'était jamais parvenu jusqu'à la star. Le président en a fait lecture. « Je compatis à la souffrance que vous endurez », écrit le principal accusé.
« Je vous pardonne », a répondu Kim Kardashian, dans un sanglot, en se tournant vers lui, disant « croire à la deuxième chance ». L'influenceuse de 44 ans a rappelé qu'elle étudie le droit pour devenir avocate en Californie et être très investie dans les droits des prisonniers aux États-Unis. Mais ce pardon « ne change rien au traumatisme », a-t-elle souligné. Aomar Aït Khedache a répondu par écrit. Un mot lu, à nouveau, par le président de la cour : « Ce pardon est un soleil. Je vous remercie. Voilà dix ans que le remords et le regret m'usent au sens propre du mot. »
À la sortie de l'audience qui aura duré quatre heures, le tumulte a repris. Perchés sur des escabeaux, journalistes et photographes ont joué des coudes ; personne ne voulait rater la prise de parole annoncée de Kim Kardashian. C'est finalement son avocat américain, Michael Rhodes, qui a mis fin au grand bazar : « Elle est très fatiguée, alors on lui a conseillé d'aller se reposer un peu. » La déception était palpable dans les rangs de la presse devant l'épilogue d'une journée folle, comme le palais de justice de Paris en a rarement vécu.
Sous les dorures de la salle d'audience, loin de la cohue extérieure, l'ambiance était bien différente. Entièrement vêtue de noir, Kim Kardashian s'est présentée face à la cour, escortée par cinq gardes du corps. Neuf ans après les faits, c'est une femme toujours traumatisée qui s'est exprimée sur cette fameuse nuit du 2 octobre 2016, quand deux hommes encagoulés ont pénétré dans sa chambre d'hôtel.
Une agression qui « a tout changé » pour Kim Kardashian
Venue pour la Fashion week 2016, Kim Kardashian n'a rien oublié de ce braquage « traumatisant ». L'influenceuse a d'abord cru à un acte terroriste. En fait, c'est sa bague de fiançailles – un diamant évalué à 3,5 millions d'euros, offert par Kanye West, son époux de 2014 à 2021 – et ses effets personnels que recherchaient les malfaiteurs. « L'un d'eux manipule mon sac sur le lit, l'autre me braque avec son arme, raconte la milliardaire à la barre. Le premier me tire vers lui. Ma nuisette tombe, je suis nue. Je crois que je vais me faire violer. »
Bâillonnée avec du scotch, en état de choc, Kim Kardashian entame une prière et pense à sa mère, sa fille. « J'étais certaine de mourir ce soir-là », confie-t-elle. Au moment des faits, son garde du corps est absent. « Je me croyais en sécurité à l'hôtel, mais cette expérience a tout changé pour moi », continue-t-elle. Depuis, « Kim K » n'affiche plus bijoux et le train de vie luxueux sur ses réseaux sociaux. Désormais, elle limite désormais ses publications et s'entoure de bien plus de gardes du corps. Le butin du braquage, évalué à 9 millions d'euros, ne sera jamais retrouvé.
« Je vous pardonne »
L'interrogatoire s'est achevé par les mots d'excuse d'un des accusés, Aomar Aït Khedache. Ce dernier, aujourd'hui âgé de 69 ans, avait écrit cette lettre à Kim Kardashian en 2017. Ce courrier n'était jamais parvenu jusqu'à la star. Le président en a fait lecture. « Je compatis à la souffrance que vous endurez », écrit le principal accusé.
« Je vous pardonne », a répondu Kim Kardashian, dans un sanglot, en se tournant vers lui, disant « croire à la deuxième chance ». L'influenceuse de 44 ans a rappelé qu'elle étudie le droit pour devenir avocate en Californie et être très investie dans les droits des prisonniers aux États-Unis. Mais ce pardon « ne change rien au traumatisme », a-t-elle souligné. Aomar Aït Khedache a répondu par écrit. Un mot lu, à nouveau, par le président de la cour : « Ce pardon est un soleil. Je vous remercie. Voilà dix ans que le remords et le regret m'usent au sens propre du mot. »
À la sortie de l'audience qui aura duré quatre heures, le tumulte a repris. Perchés sur des escabeaux, journalistes et photographes ont joué des coudes ; personne ne voulait rater la prise de parole annoncée de Kim Kardashian. C'est finalement son avocat américain, Michael Rhodes, qui a mis fin au grand bazar : « Elle est très fatiguée, alors on lui a conseillé d'aller se reposer un peu. » La déception était palpable dans les rangs de la presse devant l'épilogue d'une journée folle, comme le palais de justice de Paris en a rarement vécu.
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