Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon joint les mains des présidents Joseph Kabila et Paul Kagame, le 27 septembre 2012 à New York.
De cette réunion à huis clos tenue en marge de l'assemblée générale de l'ONU, on retiendra d’abord cette photo de la poignée de main entre Joseph Kabila et Paul Kagame réunis par Ban Ki-moon. Au-delà de ce symbole, les désaccords sur la situation dans l’est de la République démocratique du Congo sont nombreux et les positions de chacun n'ont quasiment pas évolué.
A l’issue de cette rencontre entre la plupart des acteurs régionaux, l'Union européenne, l'Union africaine et la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs, le Rwanda a bloqué l’adoption d’un communiqué final en refusant que soit mentionnées la condamnation des « soutiens extérieurs » du M23 ainsi que celle de cinq officiers de la rébellion.
Joseph Kabila a une nouvelle fois demandé le déploiement d’une force neutre pour sécuriser la frontière entre l’est de la RDC et le Rwanda. Un projet encore à l’étude, dit-on à l’ONU, et qui pourrait mobiliser des drones de surveillance.
Sur les trois heures qu’a duré la réunion, Paul Kagame n’est resté qu’un peu plus de 45 minutes. Il est sorti pendant l’intervention du ministre belge Didier Reynders au moment où ce dernier demandait au Rwanda de condamner publiquement la mutinerie et le M23. Joseph Kabila a réitéré dans son discours que son pays était « victime » d'ingérences extérieures, sans pour autant dénoncer explicitement le Rwanda.
Source: RFI
A l’issue de cette rencontre entre la plupart des acteurs régionaux, l'Union européenne, l'Union africaine et la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs, le Rwanda a bloqué l’adoption d’un communiqué final en refusant que soit mentionnées la condamnation des « soutiens extérieurs » du M23 ainsi que celle de cinq officiers de la rébellion.
Joseph Kabila a une nouvelle fois demandé le déploiement d’une force neutre pour sécuriser la frontière entre l’est de la RDC et le Rwanda. Un projet encore à l’étude, dit-on à l’ONU, et qui pourrait mobiliser des drones de surveillance.
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