« Cette liberté-là voudrait que par exemple, celui qui aspire à un travail, puisse l’avoir et avoir aussi le travail auquel il prétend. Malheureusement, quand on regarde le Sénégal, sur la plan aussi bien des relations professionnelles que sur le plan sociologique, aujourd’hui vous voyez des gens qui optent pour un profil donné en terme de formation et qui ne trouvent pas de répondantes sur la marché du travail, au point qu’il n’ont pas en réalité le choix pour accepter un certain nombre d’emplois », renseigne au micro de la RFM, Abdoulaye Fall qui rappelle que la plupart des gens sont victimes cette situation « irrégulière, anormale et d’injustice ».
Une situation qui s’explique selon M. Fall par le fait qu’il est difficile au Sénégal d’avoir un emploi et de le maintenir, avec surtout la fermeture en masse des entreprises. Dans un contexte de crise mondiale, « les gens n’ont pas tellement le choix par rapport à l’emploi qui leur est proposé, d’opter pour une liberté de travail », dit-il.
Faire un travail qui ne correspond pas à son profil reste encore un souci majeur qui affecte surtout les jeunes diplômés au Sénégal qui sont loin de l’acquisition de cette liberté de travail.
Une situation qui s’explique selon M. Fall par le fait qu’il est difficile au Sénégal d’avoir un emploi et de le maintenir, avec surtout la fermeture en masse des entreprises. Dans un contexte de crise mondiale, « les gens n’ont pas tellement le choix par rapport à l’emploi qui leur est proposé, d’opter pour une liberté de travail », dit-il.
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