Le Premier ministre Abdoul Mbaye a annoncé le 20 avril une baisse sur les prix du riz, du sucre et de l’huile. Le kilo de riz ordinaire est arrêté à 280 francs contre 325, tandis que le kilo du riz parfumé est à 435 francs contre 475. Concernant le sucre, le kilo sera vendu à 580 francs contre 690, alors que le litre d’huile est arrêté à 960 francs contre 1.200 francs, selon l’Agence de presse sénégalaise.
Pour l’UNACOIS-Jappo, qui regroupe des importateurs et des commerçants grossistes de ces denrées de base, par la voix de son président Ameth Fall Braya, ils n’ont pas été associés aux concertations avant de parler de baisse des prix des denrées de base.
Cette mesure n’est pas encore entrée en vigueur à cause de ‘’l’absence de suivi et de consultation des acteurs’’ de chacune de ces denrées, selon cette organisation citée par l’APS.
Le gouvernement, qui a tenu un conseil interministériel pour baisser les prix de ces produits, n’a ‘’pris en compte que l’avis de quelques commerçants peu influents dans’’ les filières d’importation et de distribution du riz, du sucre et de l’huile, a soutenu M. Fall. Il dit avoir été invité au conseil interministériel par le gouvernement.
Si la baisse des prix de ces denrées n’est pas encore effective, a-t-il argué, c’est parce qu’il n’y a pas de ‘’large consensus entre tous les acteurs engagés dans la commercialisation’’.
Des commerçants et consommateurs ont annoncé à l’APS mercredi qu’ils achetaient l’huile, le sucre et le riz moins cher qu’avant l’annonce de la baisse sur les prix de ces denrées par le gouvernement. Il ressort des témoignages de certains d’entre eux que les nouveaux prix fixés par le gouvernement ne sont pas encore entrés en vigueur. Une situation qui laisse la population sur sa faim.
Pour l’UNACOIS-Jappo, qui regroupe des importateurs et des commerçants grossistes de ces denrées de base, par la voix de son président Ameth Fall Braya, ils n’ont pas été associés aux concertations avant de parler de baisse des prix des denrées de base.
Cette mesure n’est pas encore entrée en vigueur à cause de ‘’l’absence de suivi et de consultation des acteurs’’ de chacune de ces denrées, selon cette organisation citée par l’APS.
Le gouvernement, qui a tenu un conseil interministériel pour baisser les prix de ces produits, n’a ‘’pris en compte que l’avis de quelques commerçants peu influents dans’’ les filières d’importation et de distribution du riz, du sucre et de l’huile, a soutenu M. Fall. Il dit avoir été invité au conseil interministériel par le gouvernement.
Si la baisse des prix de ces denrées n’est pas encore effective, a-t-il argué, c’est parce qu’il n’y a pas de ‘’large consensus entre tous les acteurs engagés dans la commercialisation’’.
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