«Nous ne sommes pas à l’abri d’incidents majeurs les 2 et 3 ans à venir, parce que le système reste relativement fragile. Il y a d’abord la vétusté des infrastructures et sur ce plan, la Senelec a un plan d’action prioritaire pour régler le cas juridique dans ce domaine», a déclaré le ministre de l’Energie et du Développement des énergies renouvelables.
Mais un autre facteur vient expliquer ce danger qui guette les installations de la Senelec : «Le deuxième risque majeur c’est le non-respect des règles de servitude vis-à-vis de la plupart des installations. Par exemple, il y a des normes qui régissent les emprises et font que personne ne doit habiter à proximité des installations de ce genre», se désole-t-il.
Et de poursuivre : «Ce non-respect fait que le danger est ambiant, avec des pylônes haute tension, qui peuvent être à tout moment cognés par des véhicules ou être impactés par des activités humaines. Il s’y ajoute que beaucoup de cantines sont sous la ligne de haute tension et il suffit de les déguerpir aujourd’hui pour que le propriétaire revienne demain s’installer».
Ces actes poussent M. Sall à inciter les populations à contribuer à la sauvegarde de ces installations en adoptant «une attitude citoyenne». Mais en tout état de cause, martèle-t-il, «l’Etat va prendre ses responsabilités pour le respect des servitudes».
Mais un autre facteur vient expliquer ce danger qui guette les installations de la Senelec : «Le deuxième risque majeur c’est le non-respect des règles de servitude vis-à-vis de la plupart des installations. Par exemple, il y a des normes qui régissent les emprises et font que personne ne doit habiter à proximité des installations de ce genre», se désole-t-il.
Et de poursuivre : «Ce non-respect fait que le danger est ambiant, avec des pylônes haute tension, qui peuvent être à tout moment cognés par des véhicules ou être impactés par des activités humaines. Il s’y ajoute que beaucoup de cantines sont sous la ligne de haute tension et il suffit de les déguerpir aujourd’hui pour que le propriétaire revienne demain s’installer».
Ces actes poussent M. Sall à inciter les populations à contribuer à la sauvegarde de ces installations en adoptant «une attitude citoyenne». Mais en tout état de cause, martèle-t-il, «l’Etat va prendre ses responsabilités pour le respect des servitudes».
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