Au Burkina Faso, onze personnes ont été retrouvées mortes, ce lundi 15 juillet, à l’unité anti-drogue de la police, à Ouagadougou. Ces personnes avaient été placées en garde à vue, dans le cadre d’une enquête de la police nationale. Le procureur a annoncé qu’une enquête a été ouverte pour déterminer les circonstances de ces morts.
Ces personnes retrouvées mortes, ce lundi, font partie d’un groupe d’individus interpellés vendredi, samedi et dimanche derniers dans le cadre d’une enquête sur le trafic et la consommation de drogue.
Plusieurs personnes parmi lesquelles des clients, des revendeurs, des fournisseurs et consommateurs étaient ainsi tombés dans les filets de l’unité anti-drogue, selon une source sécuritaire.
Le procureur du Faso informe qu’une enquête a été immédiatement ouverte aux fins de déterminer les circonstances de ces décès. Des médecins légistes ont entamé les examens et autopsies des corps.
Plusieurs suspects, interpellés dans le cadre de la même affaire, ont été admis dans des centres de santé pour des examens complémentaires, afin de savoir si leur vie n’est pas en danger.
« On doit vite savoir si ces individus n’ont pas avalé des capsules de drogue ou d’autres substances dangereuses », ajoute notre source sécuritaire.
Ces personnes retrouvées mortes, ce lundi, font partie d’un groupe d’individus interpellés vendredi, samedi et dimanche derniers dans le cadre d’une enquête sur le trafic et la consommation de drogue.
Plusieurs personnes parmi lesquelles des clients, des revendeurs, des fournisseurs et consommateurs étaient ainsi tombés dans les filets de l’unité anti-drogue, selon une source sécuritaire.
Le procureur du Faso informe qu’une enquête a été immédiatement ouverte aux fins de déterminer les circonstances de ces décès. Des médecins légistes ont entamé les examens et autopsies des corps.
Plusieurs suspects, interpellés dans le cadre de la même affaire, ont été admis dans des centres de santé pour des examens complémentaires, afin de savoir si leur vie n’est pas en danger.
« On doit vite savoir si ces individus n’ont pas avalé des capsules de drogue ou d’autres substances dangereuses », ajoute notre source sécuritaire.
Autres articles
-
Le patrimoine de chefs d'États africains à Dubaï révélé par une enquête de médias internationaux
-
Nigeria : au moins 24 blessés dans l'attaque d'une mosquée
-
Niger: les menaces de Washington ont causé la fin des accords militaires, selon le Premier ministre
-
Suisse: un ex-ministre gambien condamné à 20 ans de prison pour crimes contre l'humanité
-
Gabon : Ali Bongo en grève de la faim pour dénoncer des "actes de torture