Après l’expiration de son ultimatum donné au gouvernement, l’opposition politique constate que le bilan demeure plus sombre. Plus de 300 membres des forces de défense et sécurité et des volontaires pour la défense de la patrie tués, une quarantaine de personnes enlevées ou portés disparues, des écoles et commissariats fermés. Et même le drapeau noir, celui attribué aux groupes jihadistes implanté dans certains commissariats.
Rencontre
L’opposition prévoit une rencontre avec plusieurs institutions comme les ministères des Armées et de la Sécurité, l’Autorité supérieure de contrôle d’État dans le but d’avoir une juste appréciation des moyens mis en œuvre par le gouvernement dans la lutte contre le terrorisme et la mauvaise gouvernance,
Malgré ce tableau peu reluisant de la situation sécuritaire, l’opposition décide de reprendre sa place au niveau du processus de réconciliation nationale et du cadre de suivi du dialogue politique. Eddie Komboïgo, le chef de file et ses camarades disent avoir pris cette décision après une médiation de plusieurs autorités religieuses, coutumières, du médiateur du Faso et de Zéphirin Diabré, le ministre en charge de la réconciliation nationale.
Se tenir prêt
Même si elle rejoint le dialogue politique, l’opposition appelle les populations à se tenir prêtes pour tout mot d’ordre en fonction de l’évolution de la situation sécuritaire.
Rencontre
L’opposition prévoit une rencontre avec plusieurs institutions comme les ministères des Armées et de la Sécurité, l’Autorité supérieure de contrôle d’État dans le but d’avoir une juste appréciation des moyens mis en œuvre par le gouvernement dans la lutte contre le terrorisme et la mauvaise gouvernance,
Malgré ce tableau peu reluisant de la situation sécuritaire, l’opposition décide de reprendre sa place au niveau du processus de réconciliation nationale et du cadre de suivi du dialogue politique. Eddie Komboïgo, le chef de file et ses camarades disent avoir pris cette décision après une médiation de plusieurs autorités religieuses, coutumières, du médiateur du Faso et de Zéphirin Diabré, le ministre en charge de la réconciliation nationale.
Se tenir prêt
Même si elle rejoint le dialogue politique, l’opposition appelle les populations à se tenir prêtes pour tout mot d’ordre en fonction de l’évolution de la situation sécuritaire.
Autres articles
-
Guinée: le FNDC craint qu'Alpha Condé, en Turquie pour soins médicaux, échappe à la justice
-
L’armée rwandaise accuse la RDC d’avoir tiré des roquettes sur son territoire
-
Ghana: ouverture des assemblées annuelles de la Banque africaine de développement
-
Cameroun: les «déguerpis» du quartier Dikolo de Douala sont en colère
-
75 migrants secourus au large de la Libye par le navire Ocean Viking