La première zone d’intérêt militaire couvre un espace d’environ 37 758 km² couvre les forêts protégées de la région de l’Est : les réserves d’Arly, Koutiagou, Madjoari, Pama, Singou et du parc national W.
La deuxième zone va de la province du Soum avec ses 12 205 km² jusqu’à la frontière avec le Mali. Toute présence ou activité humaine est interdite dans ces zones au risque de s'exposer « aux opérations militaires qui y seront conduites sous peu », selon le lieutenant-colonel Yves Didier Bamouni, le commandant des opérations du théâtre national. Mais « un délai sera accord aux populations pour rejoindre des zones plus sécurisées » précise-t-il.
Dénoncer les mauvais comportements des forces de défense
Une nouvelle brigade de veille et de défense patriotique a été aussi créée. Rattachée au ministère de la Défense, elle va regrouper l’ensemble des volontaires et sa mission, cordonner les opérations de la défense civile du territoire et contribuer à la recherche du renseignement.
Désormais, tout personnel engagé dans les opérations de sécurisation qui abandonnerait sa position ou son matériel, sans avoir épuisé ses moyens de combat, s'exposera à des poursuites « disciplinaires et pénales », prévient le lieutenant-colonel Yves Didier Bamouni.
La deuxième zone va de la province du Soum avec ses 12 205 km² jusqu’à la frontière avec le Mali. Toute présence ou activité humaine est interdite dans ces zones au risque de s'exposer « aux opérations militaires qui y seront conduites sous peu », selon le lieutenant-colonel Yves Didier Bamouni, le commandant des opérations du théâtre national. Mais « un délai sera accord aux populations pour rejoindre des zones plus sécurisées » précise-t-il.
Dénoncer les mauvais comportements des forces de défense
Une nouvelle brigade de veille et de défense patriotique a été aussi créée. Rattachée au ministère de la Défense, elle va regrouper l’ensemble des volontaires et sa mission, cordonner les opérations de la défense civile du territoire et contribuer à la recherche du renseignement.
Désormais, tout personnel engagé dans les opérations de sécurisation qui abandonnerait sa position ou son matériel, sans avoir épuisé ses moyens de combat, s'exposera à des poursuites « disciplinaires et pénales », prévient le lieutenant-colonel Yves Didier Bamouni.
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