
La défense a affirmé que la milice de Bemba, le Mouvement de libération du Congo (MLC), échappait à son commandement lorsqu'elle agissait en Centrafrique, et que l'accusation n'a pas démontré que Bemba avait ordonné à ses hommes de commettre les atrocités.
Les deux parties ont présenté leurs arguments lors d'une audience à la CPI qui doit durer jusqu'à jeudi et vise à déterminer s'il existe des éléments suffisants pour juger Bemba. Les juges auront ensuite 60 jours pour décider s'il y a lieu d'organiser son procès, de chercher de nouvelles preuves ou d'abandonner les poursuites. AP
Les deux parties ont présenté leurs arguments lors d'une audience à la CPI qui doit durer jusqu'à jeudi et vise à déterminer s'il existe des éléments suffisants pour juger Bemba. Les juges auront ensuite 60 jours pour décider s'il y a lieu d'organiser son procès, de chercher de nouvelles preuves ou d'abandonner les poursuites. AP
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