Après une campagne dans le contexte de pandémie de Covid-19, près de 600 candidats issus de six partis sont en lice pour ces législatives.
Deux principales formations dominent cependant la vie politique cap-verdienne : le Mouvement pour la démocratie (MPD), tendance libérale centre-droite, du Premier ministre sortant Ulisses Correia e Silva ainsi que le Parti Africain pour l’indépendance du Cap Vert (PAICV), ex-parti unique et membre de l’Internationale socialiste. A sa tête : Janira Hopffer Almada qui espère devenir la première femme à diriger le gouvernement.
Le MPD, vainqueur des dernières législatives, il y a 5 ans, se dit confiant pour conserver sa majorité à l’Assemblée, mais l’opposition attaque le gouvernement sur sa gestion de la pandémie et ses conséquences économiques. Le secteur du tourisme, qui représente un quart du PIB du Cap-Vert, est plombé par la crise sanitaire.
Autres grands thèmes qui ont marqué la campagne : la jeunesse, la diaspora – plus importante en nombre que les Cap-Verdiens résidant dans l’archipel, selon l’organisation internationale des migrations - ou encore le climat, alors que le pays fait face à la sécheresse.
L’élection présidentielle est ensuite prévue le 17 octobre prochain.
Deux principales formations dominent cependant la vie politique cap-verdienne : le Mouvement pour la démocratie (MPD), tendance libérale centre-droite, du Premier ministre sortant Ulisses Correia e Silva ainsi que le Parti Africain pour l’indépendance du Cap Vert (PAICV), ex-parti unique et membre de l’Internationale socialiste. A sa tête : Janira Hopffer Almada qui espère devenir la première femme à diriger le gouvernement.
Le MPD, vainqueur des dernières législatives, il y a 5 ans, se dit confiant pour conserver sa majorité à l’Assemblée, mais l’opposition attaque le gouvernement sur sa gestion de la pandémie et ses conséquences économiques. Le secteur du tourisme, qui représente un quart du PIB du Cap-Vert, est plombé par la crise sanitaire.
Autres grands thèmes qui ont marqué la campagne : la jeunesse, la diaspora – plus importante en nombre que les Cap-Verdiens résidant dans l’archipel, selon l’organisation internationale des migrations - ou encore le climat, alors que le pays fait face à la sécheresse.
L’élection présidentielle est ensuite prévue le 17 octobre prochain.
Autres articles
-
Présidentielle en Mauritanie: Mohamed Ould Ghazouani candidat à sa propre succession
-
Burkina Faso: les médias BBC et Voice of America suspendus deux semaines
-
Insécurité alimentaire : plus de 282 millions de personnes touchées en 2023
-
Mali: la prolongation de la transition, objectif inavoué du dialogue inter-Maliens?
-
Mauritanie: l'ex-président Mohamed Ould Abdel Aziz entend déposer sa candidature, même depuis sa prison