Dans une communiqué parvenu à Pressafrik le Réseau Ouest Africain des Défenseurs des Droits Humains (ROADDH) se dit indigner par l’attaque meurtrière perpétrée contre des exploitants forestiers dans la région de Ziguinchor en Casamance.
Pour la Directrice des Programmes et Plaidoyer du Réseau Ouest Africain des Défenseurs des Droits Humains (ROADDH) : « Rien ne saurait justifier un acte aussi abject et ignoble perpétré sur des civils non armés. Il est temps d’arrêter les homicides délibérés contre des civils en Casamance. Nous condamnons avec vigueur cette barbarie et demandons aux autorités sénégalaises de tout mettre en œuvre pour retrouver les auteurs et les traduire en justice ».
Pour sa part le Coordonnateur de la Coalition Sénégalaise des Défenseurs des Droits Humain (COSEDDH) a déploré les attaques meurtrières perpétrées dans le Sud du pays qui n’ont jamais fait l’objet d’enquêtes ou de poursuites.
« Trop d’attaques meurtrières ont été perpétrées contre des civils en Casamance au cours des 30 dernières années. Aucune des attaques commises avant celle de Bofa Bayotte n’a fait l’objet d’enquête et de poursuites judiciaires et cette impunité nourrit la violence dans la région», a-t-il dénoncé.
Les deux organisations invitent les autorités sénégalaises à tout mettre en œuvre pour protéger les civils casamançais contre la violence et à rechercher et traduire en justice, conformément aux lois en vigueur, les auteurs de tels actes. Aux familles éplorées, à la nation sénégalaise, elles adressent leurs sincères condoléances et souhaitent un prompt rétablissement aux blessés.
Pour rappel, le samedi 6 janvier 2018, des éléments armés ont attaqué un groupe de jeunes qui cherchait du bois dans la forêt des Bayottes, à quelques encablures de la frontière avec la Guinée-Bissau, occasionnant 14 morts et 9 blessés actuellement soignés dans les hôpitaux à Ziguinchor et à Dakar.
Pour la Directrice des Programmes et Plaidoyer du Réseau Ouest Africain des Défenseurs des Droits Humains (ROADDH) : « Rien ne saurait justifier un acte aussi abject et ignoble perpétré sur des civils non armés. Il est temps d’arrêter les homicides délibérés contre des civils en Casamance. Nous condamnons avec vigueur cette barbarie et demandons aux autorités sénégalaises de tout mettre en œuvre pour retrouver les auteurs et les traduire en justice ».
Pour sa part le Coordonnateur de la Coalition Sénégalaise des Défenseurs des Droits Humain (COSEDDH) a déploré les attaques meurtrières perpétrées dans le Sud du pays qui n’ont jamais fait l’objet d’enquêtes ou de poursuites.
« Trop d’attaques meurtrières ont été perpétrées contre des civils en Casamance au cours des 30 dernières années. Aucune des attaques commises avant celle de Bofa Bayotte n’a fait l’objet d’enquête et de poursuites judiciaires et cette impunité nourrit la violence dans la région», a-t-il dénoncé.
Les deux organisations invitent les autorités sénégalaises à tout mettre en œuvre pour protéger les civils casamançais contre la violence et à rechercher et traduire en justice, conformément aux lois en vigueur, les auteurs de tels actes. Aux familles éplorées, à la nation sénégalaise, elles adressent leurs sincères condoléances et souhaitent un prompt rétablissement aux blessés.
Pour rappel, le samedi 6 janvier 2018, des éléments armés ont attaqué un groupe de jeunes qui cherchait du bois dans la forêt des Bayottes, à quelques encablures de la frontière avec la Guinée-Bissau, occasionnant 14 morts et 9 blessés actuellement soignés dans les hôpitaux à Ziguinchor et à Dakar.
Autres articles
-
Cherté de la vie et lutte contre le chômage des jeunes : le secteur privé s’engage à soutenir le Président Diomaye Faye
-
Baisse du coût de la vie : le Président Diomaye en "aparté" avec le secteur privé ce mardi
-
Corruption dans la délivrance des actes de naissance : le président du tribunal de Mbacké met en garde les agents de l’état civil
-
Guédiawaye : Des chauffeurs de taxi clandos observent une grève illimitée
-
Université de Ziguinchor : le SAES contre une prolongation du mandat du recteur et exige le paiement sans délais des heures complémentaires