«Je connais le Président Macky Sall depuis fort longtemps. Lorsqu’il était Premier ministre du Président Wade, moi j’étais Premier ministre de Guinée. Il m’avait même invité à Fatick où on a passé quelques jours. On se connait bien et on se parle de temps à temps». Ces propos sont de Cellou Dalein Diallo lors de son passage à la Rfm.
Sur le rôle que doit jouer le président de la République du Sénégal dans le processus électoral en Guinée, l’opposant à Alpha Condé déclare : «Il doit observer une certaine réserve en tant que Président en exercice de la Cedeao, moi-même je ne demande pas à ce qu’il s’implique outre mesure dans ce débat interne à la Guinée. Il est Président en exercice de la Cdeao donc s’il peut le faire, il le fera».
Précisant sa pensée, il déclare : «S’il peut aider à ce que le dialogue se développe, à ce que les revendications légitimes qui sont fondées sur la loi soient satisfaites, naturellement, nous le sollicitons en tant que Président en exercice de la Cdeao et en tant que Président du Sénégal, pays voisin, fortement lié à la Guinée. Parce que s’il y a la paix, et la stabilité, c’est une bonne chose pour la Guinée. Nous ne le souhaitons pas mais si c’est le contraire, ce ne sera pas bon pour le Sénégal. Les deux pays sont tellement liés qu’il est bon que pour la stabilité de la Guinée, que le processus électorale soit apaisé, il est bon que les bonnes pratiques soient respectées».
Sur sa présence au Sénégal quelques jours après le départ du Président guinéen, M Diallo soutient que cela relève de la pure coïncidence : «Le Sénégal c’est un peu chez moi et je suis souvent là. Avant le Président Condé, j’étais là et il y a une forte communauté guinéenne et 80 à 90% de cette communauté militent dans mon parti. J’ai beaucoup d’amis et de parents, je suis régulier au Sénégal, indépendamment des contingences politiques», précise-t-il
Sur le rôle que doit jouer le président de la République du Sénégal dans le processus électoral en Guinée, l’opposant à Alpha Condé déclare : «Il doit observer une certaine réserve en tant que Président en exercice de la Cedeao, moi-même je ne demande pas à ce qu’il s’implique outre mesure dans ce débat interne à la Guinée. Il est Président en exercice de la Cdeao donc s’il peut le faire, il le fera».
Précisant sa pensée, il déclare : «S’il peut aider à ce que le dialogue se développe, à ce que les revendications légitimes qui sont fondées sur la loi soient satisfaites, naturellement, nous le sollicitons en tant que Président en exercice de la Cdeao et en tant que Président du Sénégal, pays voisin, fortement lié à la Guinée. Parce que s’il y a la paix, et la stabilité, c’est une bonne chose pour la Guinée. Nous ne le souhaitons pas mais si c’est le contraire, ce ne sera pas bon pour le Sénégal. Les deux pays sont tellement liés qu’il est bon que pour la stabilité de la Guinée, que le processus électorale soit apaisé, il est bon que les bonnes pratiques soient respectées».
Sur sa présence au Sénégal quelques jours après le départ du Président guinéen, M Diallo soutient que cela relève de la pure coïncidence : «Le Sénégal c’est un peu chez moi et je suis souvent là. Avant le Président Condé, j’étais là et il y a une forte communauté guinéenne et 80 à 90% de cette communauté militent dans mon parti. J’ai beaucoup d’amis et de parents, je suis régulier au Sénégal, indépendamment des contingences politiques», précise-t-il
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