Le commandant de la zone 3 des Forces Nouvelles Chérif Ousmane a rompu le silence ce vendredi au Ran-Hôtel de Bouaké sur le bicéphalisme au sommet de l’Etat née du hol-up électoral de Gbagbo suite à un verdict ‘’politique’’ et non ‘’juridique’’ du président du conseil constitutionnel Yao Paul N’Dré.
A la faveur d’une réunion de soutien des chefs de co mmunautés résidant dans la vallée du Bandama au président élu Alassane Ouattara, le chef militaire de Bouaké a fait savoir que son mouvement dispose des moyens humains et matériels pour ‘’sauter’’ Laurent Gbagbo du fauteuil présidentiel. Mais, qu’il garde ses positions en raison de la voie de la négociation que privilégie le président Alassane Ouattara. N’eût été cette position, la Côte d’ivoire aurait été depuis belle lurette libérée de la dictature des refondateurs. »Nous, les Forces Nouvelles, avons les moyens humains et matériels pour déloger Gbagbo du palais présidentiel et faire respecter la légitimité du peuple Ivoirien. Nous avons les hommes et les armes pour faire partir Laurent Gbagbo du pouvoir auquel il s’accroche. Mais, nous n’agissons pas parce que le président élu lui-même préconise une sortie de crise sans affrontement, sans bain de sang. Nous n’allons pas être plus royalistes que le roi. C’est pourquoi nous observons la situat ion actuelle et ne réagissons pas », a-t-il justifié.
Avant de souligner que ses hommes sont du côté de la légitimité démocratique qu’incarne le président Ouattara. Ce faisant, ceux-ci ne sont plus des rebelles. Mais des forces républicaines qui entendent faire respecter la volonté du peuple Ivoirien qui a choisi de confier son destin au candidat du RHDP lors d’un scrutin démocratique. Le Chef de l’Etat en qui tous les hommes en armes doivent se reconnaitre, c’est Alassane Ouattara. C’est lui qui a été élu. Et il a lancé un appel dans ce sens. « Être et demeurez sourd à cet appel pour suivre un président clandestin, illégal et illégitime, est de la rébellion. Les Forces Nouvelles ne sont plus des rebelles », a t-il instruit.
Cherif a ensuite appelé les populations de Bouaké au calme et à la sérénité. Aux fonctionnaires notamment les enseignants et les agents de santé, le com-zone les a invité à reprend re le service. « Rouvrez les écoles et les hôpitaux. Vaquez à vos occupations dans la sérénité. Il n’y aura aucune attaque de nos positions. Aucun élément des FDS ne va attaquer nos positions. La situation sécuritaire de nos zones est sous contrôle », a-t-il conclu.
A la faveur d’une réunion de soutien des chefs de co mmunautés résidant dans la vallée du Bandama au président élu Alassane Ouattara, le chef militaire de Bouaké a fait savoir que son mouvement dispose des moyens humains et matériels pour ‘’sauter’’ Laurent Gbagbo du fauteuil présidentiel. Mais, qu’il garde ses positions en raison de la voie de la négociation que privilégie le président Alassane Ouattara. N’eût été cette position, la Côte d’ivoire aurait été depuis belle lurette libérée de la dictature des refondateurs. »Nous, les Forces Nouvelles, avons les moyens humains et matériels pour déloger Gbagbo du palais présidentiel et faire respecter la légitimité du peuple Ivoirien. Nous avons les hommes et les armes pour faire partir Laurent Gbagbo du pouvoir auquel il s’accroche. Mais, nous n’agissons pas parce que le président élu lui-même préconise une sortie de crise sans affrontement, sans bain de sang. Nous n’allons pas être plus royalistes que le roi. C’est pourquoi nous observons la situat ion actuelle et ne réagissons pas », a-t-il justifié.
Avant de souligner que ses hommes sont du côté de la légitimité démocratique qu’incarne le président Ouattara. Ce faisant, ceux-ci ne sont plus des rebelles. Mais des forces républicaines qui entendent faire respecter la volonté du peuple Ivoirien qui a choisi de confier son destin au candidat du RHDP lors d’un scrutin démocratique. Le Chef de l’Etat en qui tous les hommes en armes doivent se reconnaitre, c’est Alassane Ouattara. C’est lui qui a été élu. Et il a lancé un appel dans ce sens. « Être et demeurez sourd à cet appel pour suivre un président clandestin, illégal et illégitime, est de la rébellion. Les Forces Nouvelles ne sont plus des rebelles », a t-il instruit.
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