Aux alentours de 20h00, ce lundi 27 juillet dans la soirée, des tirs se sont fait entendre dans la ville d’Obo, à l’extrême est du pays, pendant quelques heures puis les armes se sont tues.
Un soldat centrafricain a perdu la vie, un lieutenant surnommé « Sangaris ». Un casque bleu a également été touché. Il est actuellement dans un état stable. Plusieurs civils sont également blessés, dont une jeune fille, selon des sources locales. Des magasins ont été pillés ou incendiées.
Action « coordonnée »
Dans un communiqué la Mission des nations unies en Centrafrique, (Minsuca), parle d’une attaque « coordonnée » sur la ville, par des éléments « supposés appartenir à l’UPC ».
« Des combats intenses » précise une source, peut être en lien avec l’arrestation début juillet de plusieurs membres du groupe armé. Mais d’autres sources, dont le député d’Obo Ernest Mizedio, évoquent un « accrochage » entre soldats centrafricains et le contingent marocain de la Minusca. La tension était encore vive hier soir entre les deux parties.
Une source onusienne fait état de blocages et de menaces sur ses installations. « La ville est déserte l’émoi est immense, la population réfugiée dans l’Église », témoigne le sous-préfet Dieudonné Yapoulela Youffi, dans une localité relativement calme ces derniers mois.
Un soldat centrafricain a perdu la vie, un lieutenant surnommé « Sangaris ». Un casque bleu a également été touché. Il est actuellement dans un état stable. Plusieurs civils sont également blessés, dont une jeune fille, selon des sources locales. Des magasins ont été pillés ou incendiées.
Action « coordonnée »
Dans un communiqué la Mission des nations unies en Centrafrique, (Minsuca), parle d’une attaque « coordonnée » sur la ville, par des éléments « supposés appartenir à l’UPC ».
« Des combats intenses » précise une source, peut être en lien avec l’arrestation début juillet de plusieurs membres du groupe armé. Mais d’autres sources, dont le député d’Obo Ernest Mizedio, évoquent un « accrochage » entre soldats centrafricains et le contingent marocain de la Minusca. La tension était encore vive hier soir entre les deux parties.
Une source onusienne fait état de blocages et de menaces sur ses installations. « La ville est déserte l’émoi est immense, la population réfugiée dans l’Église », témoigne le sous-préfet Dieudonné Yapoulela Youffi, dans une localité relativement calme ces derniers mois.
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