«Notre priorité c’est de lutter contre le terrorisme. On a demandé à nos frères et sœurs de la CEDEAO : quelles sont vos priorités en matière humanitaire ? Et ils nous ont dit qu’ils voulaient la sécurité et la protection». Ces propos sont du président de la Commission de la CEDEAO, qui revenait sur les défis que lui et son équipe doivent relever lors de leur mandat à la tête de ladite commission. Et ces revendications le poussent à tirer la conclusion qui semble évidente : «Donc, la priorité des priorités, qui n’existait pas avant, c’est aujourd’hui la sécurité.
Mais pour arriver à ses fins, il lui faut passer par la résolution des tensions existant dans certains pays de la CEDEAO comme la Gambie et la Guinée Bissau.
Evoquant cette dernière, M. De Souza annonce l’envoi d’une délégation de haut niveau : «Il y aura une mission de haut niveau composée des chefs d’Etats du Sénégal, de la Sierra Leone et de la Guinée, qui vont se rendre sur place pour voir comment relancer un dialogue franc et direct entre les différentes parties».
Evoquant la situation au pays de Yaya Djammeh, il déclare : «Nous avons déjà envoyé une mission conjointe de la CEDEAO, et j’y étais avec le représentant des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et l’Union Africaine, et nous avons été bien reçus. Mais depuis qu’on a annoncé le programme électoral, il y a des troubles. Dans ce pays, les opposants ont des doléances. Ils veulent qu’on révise la Constitution pur permettre de limiter certainement le nombre de mandats : le Président est en train de faire 24 ans au pouvoir. Ensuite, ils ont souhaité que les gens qui ont été arrêtés, qu’on puisse les présenter à la justice. Et donc il faut que les droits de l’homme soient respectés».
Mais pour arriver à ses fins, il lui faut passer par la résolution des tensions existant dans certains pays de la CEDEAO comme la Gambie et la Guinée Bissau.
Evoquant cette dernière, M. De Souza annonce l’envoi d’une délégation de haut niveau : «Il y aura une mission de haut niveau composée des chefs d’Etats du Sénégal, de la Sierra Leone et de la Guinée, qui vont se rendre sur place pour voir comment relancer un dialogue franc et direct entre les différentes parties».
Evoquant la situation au pays de Yaya Djammeh, il déclare : «Nous avons déjà envoyé une mission conjointe de la CEDEAO, et j’y étais avec le représentant des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et l’Union Africaine, et nous avons été bien reçus. Mais depuis qu’on a annoncé le programme électoral, il y a des troubles. Dans ce pays, les opposants ont des doléances. Ils veulent qu’on révise la Constitution pur permettre de limiter certainement le nombre de mandats : le Président est en train de faire 24 ans au pouvoir. Ensuite, ils ont souhaité que les gens qui ont été arrêtés, qu’on puisse les présenter à la justice. Et donc il faut que les droits de l’homme soient respectés».
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