Avec des besoins annuels estimés à 140.000 tonnes, le Sénégal s’est retrouvé avec 230.000 tonnes de sucre, au total, selon le conseiller de la CSS, Louis Lamotte qui dénonce « une importation sauvage » qui a « déréglé complètement le marché » de la part du nouveau pouvoir dont « on ne peut pas lire les options en matière économique ».
« Comme tenu de la situation, la CSS peut rester une année sans travailler, il y aura du sucre en abondance. Pour le moment, on produit mais on ne vend pas. Les nouvelles autorités professent la bonne foi sans pour autant donner l’exemple. Quand on parle de gouvernance sobre et vertueuse, j’ai envie de rire », a renchérit Louis Lamotte qui voit que «c’est le manque de vigilance ou la mal gouvernance qui est entrain de mettre à terre le premier employeur du Sénégal », sur les colonnes du journal "L'As".
« Comme tenu de la situation, la CSS peut rester une année sans travailler, il y aura du sucre en abondance. Pour le moment, on produit mais on ne vend pas. Les nouvelles autorités professent la bonne foi sans pour autant donner l’exemple. Quand on parle de gouvernance sobre et vertueuse, j’ai envie de rire », a renchérit Louis Lamotte qui voit que «c’est le manque de vigilance ou la mal gouvernance qui est entrain de mettre à terre le premier employeur du Sénégal », sur les colonnes du journal "L'As".
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