Le religieux compati avec les familles de victimes de la mutinerie de Rebeuss, qui a fait un mort et une quarantaine de blessés. Monseigneur André Gueye Archevêque Thies évoque les difficiles conditions de détentions dans les prisons du Sénégal.
« Il y a deux années, j’étais venu à Diourbel pour tirer la sonnette d’alarme sur la vie à l’intérieur des prisons. Peut-être, c’est une goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Il faut que les prisons soient humanisées. Ce sont des êtres humains qui sont là. Il ne faut pas qu’ils en sortent comme des fauves. Alors, la mutinerie dévoile un mal vivre dans les prisons ».
Selon l’Archevêque de Thiès « une prison destinée à 100 personnes, vous ne pouvez pas y mettre le double. Mais les prisons sont là pour offrir une autre chance à la personne de pouvoir s’intégrer dans la vie publique. Il faut traiter avec dignité et humanité les prisonniers. C’est une privation temporaire de liberté pour que, retrouvant la liberté, les prisonniers contribuent davantage à la promotion des règles qui font que la cité avance dans le respect de la liberté des autres » a déclaré Monseigneur Gueye dans les colonnes du journal Le Quotidien.
Poursuivant sa plaidoirie pour de meilleures conditions de détention « La mutinerie est seulement un cri de cœur des prisonniers qui appelle une réponse adéquate de la part des autorités en mettant toutes les mesures idoines pour que la vie carcérale ne soit pas une vie en deçà de la vie humaine », soutient le religieux et homme d'Eglise.
« Il y a deux années, j’étais venu à Diourbel pour tirer la sonnette d’alarme sur la vie à l’intérieur des prisons. Peut-être, c’est une goutte d’eau qui a fait déborder le vase. Il faut que les prisons soient humanisées. Ce sont des êtres humains qui sont là. Il ne faut pas qu’ils en sortent comme des fauves. Alors, la mutinerie dévoile un mal vivre dans les prisons ».
Selon l’Archevêque de Thiès « une prison destinée à 100 personnes, vous ne pouvez pas y mettre le double. Mais les prisons sont là pour offrir une autre chance à la personne de pouvoir s’intégrer dans la vie publique. Il faut traiter avec dignité et humanité les prisonniers. C’est une privation temporaire de liberté pour que, retrouvant la liberté, les prisonniers contribuent davantage à la promotion des règles qui font que la cité avance dans le respect de la liberté des autres » a déclaré Monseigneur Gueye dans les colonnes du journal Le Quotidien.
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