La société panafricaine en pathologie brûlure (Pads) a organisé un congrès sur le thème « prise en charge des brûlés graves en Africain : enjeu xxet perspectives ». A l’occasion, souxante-huit (68) infirmiers sénégalais ont été formés.
Le médecin colonel Mouhamadou Mansour Fall, président du Comité d’organisation, a déclaré lors des échanges que « la tendance était de crier victoire dès que le patient sortait de réanimation ». Mais, selon lui, « aujourd’hui le défi doit aller de la phase de réanimation jusqu’à la sortie d’hôpital. » Dans ce sillage, le médecin est d’avis qu’ : « il faut savoir encadrer surtout ces traumatisés qui vivent ça dans leur chair ».
Faisant le point de l’événement qui a pris fin vendredi 10 novembre, Colonel Fall de déclarer : « Cette journée a été fortement appréciée, et je pense que dans la perspective de la création imminente de la société sénégalaise du traitement de la brûlure, d’autres ateliers sont envisagés aussi bien à Dakar que dans les autres capitales régionales ».
Prenant la parole , Dr El Hadji Malick Niang, anesthésie-reanimateur, a soutenu qu’il faut des moyens pour une prise en charge optimale de la pathologie. « Il faut qu’on se dote des moyens et centres pour une prise en charge optimale de la pathologie », a-t-il lancé. Et d’ajouter : « C’est important pour que quand un accident survient qu’on ait des structures capables d’accueillir les patients ».
Ces spécialistes en santé ont préconisé la prévention. Selon eux, il faut d’abord identifier les risques et les vulgariser à travers les médias, « afin que la population puisse également jouer son rôle contre les accidents domestiques qui sont la première cause de brûlures au Sénégal ».
Le médecin colonel Mouhamadou Mansour Fall, président du Comité d’organisation, a déclaré lors des échanges que « la tendance était de crier victoire dès que le patient sortait de réanimation ». Mais, selon lui, « aujourd’hui le défi doit aller de la phase de réanimation jusqu’à la sortie d’hôpital. » Dans ce sillage, le médecin est d’avis qu’ : « il faut savoir encadrer surtout ces traumatisés qui vivent ça dans leur chair ».
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