Le Conseil national de Régulation de l’Audiovisuel (CNRA) met en garde les éditeurs et producteurs. Dans un communiqué transmis à PressAfrik, l’organe de régulation déplore la « profusion de séquences, propos, images, comportements et scènes indécents, obscènes et injurieux ».
« Le Conseil national de Régulation de l'Audiovisuel a constaté une recrudescence, dans des séries télévisées, des clips et des émissions, de contenus dont la diffusion est prohibée par la réglementation », lit-on dans le communiqué.
Le document précise que cette dernière interdit formellement la « diffusion de contenus de nature à porter atteinte à la moralité publique ou susceptibles de nuire à la préservation des valeurs, sensibilités et identités culturelles et religieuses du public ou à constituer une incitation à la débauche, notamment du public jeune ».
En effet, le CNRA dit constater que « certaines productions semblent rivaliser en termes de vulgarités, d'insanités et de contre-valeurs ».
Face à ces violations manifestes et inacceptables de la réglementation, le CNRA appelle les éditeurs télévisuels, quels que soient la technologie utilisée et le mode de diffusion, à mettre un « terme à la diffusion de contenus ou séquences susceptibles de heurter la sensibilité des concitoyens ».
Il invite également les producteurs et sociétés de production des séries, téléfilms, clips et émissions « d'extirper des contenus tout ce qui contrevient à la réglementation ».
Le CNRA rappelle enfin que, selon leur Cahier des charges, les médias audiovisuels, quel que soit le support de diffusion, sont responsables de la totalité des programmes diffusés sur leur antenne et sur l'ensemble de leurs supports.
A ce titre, le CNRA souligne que le non-respect de la présente mise en garde, outre les sanctions pénales prévues par la réglementation, expose les éditeurs aux sanctions prévues par la réglementation et les producteurs à l'interdiction de toute diffusion de leur production.
« Le Conseil national de Régulation de l'Audiovisuel a constaté une recrudescence, dans des séries télévisées, des clips et des émissions, de contenus dont la diffusion est prohibée par la réglementation », lit-on dans le communiqué.
Le document précise que cette dernière interdit formellement la « diffusion de contenus de nature à porter atteinte à la moralité publique ou susceptibles de nuire à la préservation des valeurs, sensibilités et identités culturelles et religieuses du public ou à constituer une incitation à la débauche, notamment du public jeune ».
En effet, le CNRA dit constater que « certaines productions semblent rivaliser en termes de vulgarités, d'insanités et de contre-valeurs ».
Face à ces violations manifestes et inacceptables de la réglementation, le CNRA appelle les éditeurs télévisuels, quels que soient la technologie utilisée et le mode de diffusion, à mettre un « terme à la diffusion de contenus ou séquences susceptibles de heurter la sensibilité des concitoyens ».
Il invite également les producteurs et sociétés de production des séries, téléfilms, clips et émissions « d'extirper des contenus tout ce qui contrevient à la réglementation ».
Le CNRA rappelle enfin que, selon leur Cahier des charges, les médias audiovisuels, quel que soit le support de diffusion, sont responsables de la totalité des programmes diffusés sur leur antenne et sur l'ensemble de leurs supports.
A ce titre, le CNRA souligne que le non-respect de la présente mise en garde, outre les sanctions pénales prévues par la réglementation, expose les éditeurs aux sanctions prévues par la réglementation et les producteurs à l'interdiction de toute diffusion de leur production.
Autres articles
-
Trafic de documents administratifs : un individu déféré au tribunal de grande instance de Saint-Louis
-
Industrie de défense : le Sénégal renforce sa souveraineté avec l’inauguration de l’usine ISEVEM
-
Marché de l’emploi : lancement du Salon Dakar Job Dating au Grand Théâtre ce 17 décembre
-
Hajj 2026 : Kaolack se dote d’un pôle régional de pèlerinage
-
Keur Massar : un réseau de trafic de cocaïne et de faux billets démantelé





Trafic de documents administratifs : un individu déféré au tribunal de grande instance de Saint-Louis


