«Il est inacceptable qu’on confisque un pouvoir par quelques voies que ce soit » a martelé le président du Parlement de la Cedeao lors de la visite qu’il effectuait, avec le chef de l’Etat à Léona Niassène (Kaolack).
Moustapha Cissé Lo de poursuivre : «Ce qui s’est passé en Gambie est regrettable, nous continuons de le déplorer en tant que parlementaires de la Cedeao, et nous sommes en train de parler avec des parlementaires gambiens et des chefs d’Etat, pour trouver une sortie de crise».
Et, annonce-t-il «en attendant que les chefs d’Etats et de gouvernement se réunissent le 17 décembre prochain, en prélude à cette rencontre, il y aura le conseil des ministres de la Cedeao, nous allons discuter parce que le parlement va participer à cette réunion, les 15 et 16».
S’adressant aux mouvements des droits de l’homme, M. Lo les exhorte à ne pas envenimer cette situation : «Il faut qu’ils se taisent. J’ai parlé à Alioune Tine ce matin (Ndlr: hier), je lui ai dit de ne pas être juge et partie. Les défenseurs des droits de l’homme et ceux de la société civile sont là pour plaider la cause des populations. Mais ils doivent attendre jusqu’à ce qu’il y ait des gens qui ont porté plainte au niveau des juridictions compétentes pour donner leur point de vue».
Le parlementaire de conclure : «Nous n’en sommes pas là, aujourd’hui il y a eu des élections, il y a eu un vainqueur et un vaincu, il faut attendre une passation de service pacifique pour l’intérêt de la Gambie et de ses voisins parce que leurs sorts sont liés».
Moustapha Cissé Lo de poursuivre : «Ce qui s’est passé en Gambie est regrettable, nous continuons de le déplorer en tant que parlementaires de la Cedeao, et nous sommes en train de parler avec des parlementaires gambiens et des chefs d’Etat, pour trouver une sortie de crise».
Et, annonce-t-il «en attendant que les chefs d’Etats et de gouvernement se réunissent le 17 décembre prochain, en prélude à cette rencontre, il y aura le conseil des ministres de la Cedeao, nous allons discuter parce que le parlement va participer à cette réunion, les 15 et 16».
S’adressant aux mouvements des droits de l’homme, M. Lo les exhorte à ne pas envenimer cette situation : «Il faut qu’ils se taisent. J’ai parlé à Alioune Tine ce matin (Ndlr: hier), je lui ai dit de ne pas être juge et partie. Les défenseurs des droits de l’homme et ceux de la société civile sont là pour plaider la cause des populations. Mais ils doivent attendre jusqu’à ce qu’il y ait des gens qui ont porté plainte au niveau des juridictions compétentes pour donner leur point de vue».
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