«Cette année, ou à jamais ». Ce cri de guerre des syndicats d’enseignants semble ne plus être d’actualité. Du moins pour certains. En effet, selon certaines sources, la radicalisation d’es enseignants est de mise. Ce qui, pour une frange de la base, suscite un brin de soupçon envers certains de leurs leaders qui s’adonneraient à des manipulations pour ne pas indisposer le gouvernement, surtout à l’approche de la fête du Travail célébrée ce 1e mai.
Mais Mamadou Lamine Dianté, le secrétaire général du Saemss/Cusems, juge qu’il est prématuré de parler de levée du mot d’ordre. Selon lui, c’est à la base de décider de la suite à donner à la grève. «Le jeudi dernier, on était en plénière d’évaluation du 5e plan d’action issu des assemblées générales des bases. Un rapport d’examen a conduit à décréter un 6e plan d’action qui va commencer demain (aujourd’hui), a-t-il déclaré. Et de poursuivre : «Entre temps, nous avons rencontré le Premier ministre qui a donné de nouvelles directives à son gouvernement».
Selon M. Dianté, toute décision revient à la base à qui ils ont soumis les nouvelles directives du Premier ministre. «Si cela va dans le sens d’indiquer la suspension du mot d’ordre, évidemment au sortir de la rencontre, on va suspendre le mot d’ordre. Si ce n’est pas le cas, on ne peut aliéner notre base, a-t-il assuré.
Mais Mamadou Lamine Dianté, le secrétaire général du Saemss/Cusems, juge qu’il est prématuré de parler de levée du mot d’ordre. Selon lui, c’est à la base de décider de la suite à donner à la grève. «Le jeudi dernier, on était en plénière d’évaluation du 5e plan d’action issu des assemblées générales des bases. Un rapport d’examen a conduit à décréter un 6e plan d’action qui va commencer demain (aujourd’hui), a-t-il déclaré. Et de poursuivre : «Entre temps, nous avons rencontré le Premier ministre qui a donné de nouvelles directives à son gouvernement».
Selon M. Dianté, toute décision revient à la base à qui ils ont soumis les nouvelles directives du Premier ministre. «Si cela va dans le sens d’indiquer la suspension du mot d’ordre, évidemment au sortir de la rencontre, on va suspendre le mot d’ordre. Si ce n’est pas le cas, on ne peut aliéner notre base, a-t-il assuré.
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