Sous l'invite du Syndicat Autonome des Enseignants du Supérieur (Saes), le Khalife de la famille Omarienne s'est rendu à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) pour constater de visu les conditions de vie et de travail des étudiants et enseignants. Mais Thierno Madani Mountaga Tall semble fortement marqué par son périple au temple du savoir. Ainsi, il n'a pas fait dans les compromis en proposant une solution radicale pour faire face à la situation de crise que vit l'UCAD. Il a suggéré, « dans la mesure du possible, la fermeture de ce temple du savoir pour une certaine durée, soit un an ou deux, pour construire des infrastructures, revoir les choses et tout remettre à plat,...».
De l'avis du Khalife, les citoyens, quelle que soit leur obédience politique ou religieuse, ne doivent pas laisser la situation de l'université se dégrader. La position du Khalife de la famille Omarienne est sans doute influencé par un film documentaire de 11 minutes qui en disait long sur les maux dont souffre l'université. Le porte-parole du Saes, Yankhoba Seydi a aussi montré au Khalife le déficit de l'UCAD en termes de salles d'études, par rapport au ratio d'étudiants. Ainsi, il fait ressortir un déficit de 57 077 places au niveau de l'Ucad. Thierno Madani Tall s'est aussi étonné de voir au sein de l'université des infrastructures et des pratiques qui ne riment pas avec un espace universitaire apaisé.
De l'avis du Khalife, les citoyens, quelle que soit leur obédience politique ou religieuse, ne doivent pas laisser la situation de l'université se dégrader. La position du Khalife de la famille Omarienne est sans doute influencé par un film documentaire de 11 minutes qui en disait long sur les maux dont souffre l'université. Le porte-parole du Saes, Yankhoba Seydi a aussi montré au Khalife le déficit de l'UCAD en termes de salles d'études, par rapport au ratio d'étudiants. Ainsi, il fait ressortir un déficit de 57 077 places au niveau de l'Ucad. Thierno Madani Tall s'est aussi étonné de voir au sein de l'université des infrastructures et des pratiques qui ne riment pas avec un espace universitaire apaisé.
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