Les populations fuient l'insécurité qui perdurent à Bangui. Ici, des soldats de la Séléka en patrouille dans les rues de la capitale. AFP PHOTO/ SIA KAMBOU
Située juste en face de Bangui, la petite ville congolaise de Zongo reçoit de plus en plus de personnes qui fuient la capitale centrafricaine. La traversée de quelques centaines de mètres s'avère parfois périlleuse. Une mère de famille est arrivée blessée par balles et a succombé à ses blessures après avoir été accueillie au camp de Worobe construit près de Zongo.
Ce camp de toile récemment construit est encore assez mal équipé : il n’y a pas d’eau, pas d’électricité. Worobe a vu sa population augmenter de 8 000 personnes ces deux dernières semaines.
Mais la surpopulation et les mauvaises conditions sanitaires ne sont pas les seuls problèmes. Il y a surtout les menaces qui pèsent sur la sécurité des réfugiés. Le camp se trouve au bord de l'Oubangui, la rivière qui marque la frontière. On craint toujours des intrusions, des expéditions punitives.
Avec les autorités congolaises, le Haut commissariat aux réfugiés (HCR) prépare un autre camp à Mole situé à 35 kilomètres, un peu plus loin de Bangui et de ses dangers. Mais le défi logistique est important : il n’y a pas de route, et pas de piste d’atterrissage.
Source: RFI
Ce camp de toile récemment construit est encore assez mal équipé : il n’y a pas d’eau, pas d’électricité. Worobe a vu sa population augmenter de 8 000 personnes ces deux dernières semaines.
Mais la surpopulation et les mauvaises conditions sanitaires ne sont pas les seuls problèmes. Il y a surtout les menaces qui pèsent sur la sécurité des réfugiés. Le camp se trouve au bord de l'Oubangui, la rivière qui marque la frontière. On craint toujours des intrusions, des expéditions punitives.
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